Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
Article à lire, source courrier international : http://www.courrierinternational.com/ar ... -portugais c'est marrant on dirait qu'ils ont le même projet chez nous, et pour l'espagne, et en grèce c'est déjà bien avancé, puisque si vous avez un problème la police ne se dérange pas et vous conseille d'appeler les milices néo-nazies.
Moi, Premier ministre, je tuerais un tiers des Portugais
Dans une chronique féroce, un journaliste portugais se met dans la tête du Premier ministre Passos Coelho, toujours plus libéral. Un réquisitoire cinglant, alors que le gouvernement vient d'annoncer de nouvelles mesures d'austérité et que les Portugais sont dans la rue.
L'article en question :
"Un tiers [de la population] doit mourir. Ce n'est pas que nous ayons quelque plaisir à les tuer, mais à vrai dire il n'y a pas d'alternative. Si on n'en finit pas avec eux, ils finissent par nous entraîner avec eux vers le fond. Et de fait, on ne va pas les tuer vraiment, c'est-à-dire tuer comme le faisait les nazis. Si on voulait vraiment les tuer on entendrait une clameur, dieu m'en garde ! Il y a des gens trop sentimentaux, qui ne comprennent pas que les décisions dures doivent être prises, quelqu'en soit le prix et que, si on se débarasse d'un tiers, les autres vivront mieux. C'est pour cela que nous n'allons pas les tuer. C'est eux qui vont mourir. Il suffit que la mortalité augmente un peu plus que dans les autres groupes. Et les statistiques le montrent déjà.
Mota Soares [l'actuel ministre de la Solidarité et de la Sécurité sociale] fait bien son travail. Les types de la santé publique disent bien tout le temps que la pauvreté est la chose qui fait le plus de mal à la santé ? Tout joue en notre faveur. La tendance le montre déjà et ce qui compte, c'est la tendance. Comme ils sont plus souvent malades, il suffit de rendre toujours plus difficile l'accès aux soins. La nature fait le reste. Paulo Macedo [le ministre de la Santé] fait lui aussi ce qu'il peut. Ce n'est pas un génocide, c'est de la statistique. On y parviendra un jour, ce qui compte c'est que nous sommes sur le bon chemin. Il n'y a pas d'argent pour soigner tout le monde et il faut faire des choix. Et les choix impliquent toujours des sacrifices. On ne peut sauver pas tout le monde et on doit sauver ceux qui sont le plus utile à la société, ceux qui produisent de la richesse. Il ne peut y avoir des types qui n'ont que des droits et ne contribuent en rien, sans aucun devoir.
Ces conneries de démocratie, d'éducation et de santé pour tous ont été inventés quand la société avait besoin de millions de pauvres pour répandre du fumier ou des choses du genre. Maintenant, on n'en a plus besoin et il y a des crétins qui n'ont pas encore compris que, pour que nous vivions bien, il faut élaguer ces sous-hommes.
Qu'un tiers doive rendre l'âme est une évidence. Mais il faut que cela soit le bon tiers, celui qui dilapide nos ressources et n'apporte rien. Il faut de l'équité. S'ils dépensent et ne contribuent pas, je suis désolé mais... Les ressources sont rares. L'autre jour encore, les journaux disaient que l'on avait un million d'analphabètes. En quoi peuvent-ils nous servir pour la société de la connaissance ? Ils vont uniquement grossir la masse des parasites, qui vivent sur le dos des autres. Donc, le bon tiers ce sont: les analphabètes, les chômeurs de longue durée, les malades chroniques, les retraités pauvres (on va pas mettre tous les vieux parce que nous ne sommes pas des animaux et il faut penser à nos parents et grands-parents), les SDF, les mendiants et les gitans, bien entendu. Et les handicapés. Pas tous. Mais s'ils n'ont pas une famille qui peut supporter le coût de l'assistance qu'on leur porte, on ne pourra pas laisser ce fardeau à la société. Ce ne serait pas juste. Et nous devons promouvoir la justice sociale.
Le deuxième tiers doit avoir un maître. C'est ennuyeux d'avoir encore besoin de quelques ouvriers, mais qu'ils puissent penser qu'ils commandent dans notre pays parce qu'ils votent ce n'est plus possible. Pour commencer, le pays n'est pas compétitif avec les gens qui vivent décemment. Je ne dis pas qu'il faille revenir à l'esclavage, mais à vrai dire les sociétés ont beaucoup évolué grâce à lui. Cela libère des ressources pour faire des investissements et de l'innovation afin de garantir le progrès et cela permet l'oisiveté des classes aisées, qui en ont bien besoin. L'ennui, c'est qu'on ne peut pas éliminer les ouvriers comme les sous-hommes car on a besoin de ces types pour faire des choses emmerdantes et, en plus (pour l'instant), ils votent - bien que la majorité ne vote pas ou vote pour nous. Ce qu'il faut c'est en finir avec ces droits garantis qui font qu'ils travaillent le minimum et vivent à l'ombre des cocotiers. Ils doivent être ce que les communistes disent qu'ils sont : des prolétaires. Il faut en finir avec le droit du travail, la stabilité de l'emploi, leur réduire le niveau de vie de façon à ce qu'ils comprennent qui commande. Ils doivent toujours être morts de peur : peur de perdre leur travail et de devenir des sous-hommes, de mourir de faim au milieu de la rue. Et il faut les gaver de football, de telenovelas et de téléréalité pour les anesthésier et pour qu'ils pensent que leurs enfants vont devenir des stars du hip-hop ou quelque chose du style.
Le dernier tiers, ce sont des professionnels et des techniciens, qui produisent des services essentiels, tels les médecins et les ingénieurs. On les a déjà convaincus que lutter contre les inégalités n'est pas supportable, que pour qu'ils puissent vivre confortablement, il n'y a pas d'autres choix que de liquider les gitans et les chômeurs et en finir avec le RMI et que pour payer leurs soins, on ne peut payer ceux des pauvres.
Avec un tiers de la population exterminée, un tiers anesthésiée et un tiers achetée, le pays peut redevenir stable et viable. La vérité, c'est que l'empreinte écologique de la société actuelle n'est pas supportable. Et si on n'agissait pas de la sorte, on ne pourrait pas garantir le niveau de luxe toujours plus élevé de la classe dirigeante, que j'espère atteindre un jour. Je ne vais pas rester à Massamá [quartier en banlieue de Lisbonne où il réside] toute ma vie".
Moi, Premier ministre, je tuerais un tiers des Portugais
Dans une chronique féroce, un journaliste portugais se met dans la tête du Premier ministre Passos Coelho, toujours plus libéral. Un réquisitoire cinglant, alors que le gouvernement vient d'annoncer de nouvelles mesures d'austérité et que les Portugais sont dans la rue.
L'article en question :
"Un tiers [de la population] doit mourir. Ce n'est pas que nous ayons quelque plaisir à les tuer, mais à vrai dire il n'y a pas d'alternative. Si on n'en finit pas avec eux, ils finissent par nous entraîner avec eux vers le fond. Et de fait, on ne va pas les tuer vraiment, c'est-à-dire tuer comme le faisait les nazis. Si on voulait vraiment les tuer on entendrait une clameur, dieu m'en garde ! Il y a des gens trop sentimentaux, qui ne comprennent pas que les décisions dures doivent être prises, quelqu'en soit le prix et que, si on se débarasse d'un tiers, les autres vivront mieux. C'est pour cela que nous n'allons pas les tuer. C'est eux qui vont mourir. Il suffit que la mortalité augmente un peu plus que dans les autres groupes. Et les statistiques le montrent déjà.
Mota Soares [l'actuel ministre de la Solidarité et de la Sécurité sociale] fait bien son travail. Les types de la santé publique disent bien tout le temps que la pauvreté est la chose qui fait le plus de mal à la santé ? Tout joue en notre faveur. La tendance le montre déjà et ce qui compte, c'est la tendance. Comme ils sont plus souvent malades, il suffit de rendre toujours plus difficile l'accès aux soins. La nature fait le reste. Paulo Macedo [le ministre de la Santé] fait lui aussi ce qu'il peut. Ce n'est pas un génocide, c'est de la statistique. On y parviendra un jour, ce qui compte c'est que nous sommes sur le bon chemin. Il n'y a pas d'argent pour soigner tout le monde et il faut faire des choix. Et les choix impliquent toujours des sacrifices. On ne peut sauver pas tout le monde et on doit sauver ceux qui sont le plus utile à la société, ceux qui produisent de la richesse. Il ne peut y avoir des types qui n'ont que des droits et ne contribuent en rien, sans aucun devoir.
Ces conneries de démocratie, d'éducation et de santé pour tous ont été inventés quand la société avait besoin de millions de pauvres pour répandre du fumier ou des choses du genre. Maintenant, on n'en a plus besoin et il y a des crétins qui n'ont pas encore compris que, pour que nous vivions bien, il faut élaguer ces sous-hommes.
Qu'un tiers doive rendre l'âme est une évidence. Mais il faut que cela soit le bon tiers, celui qui dilapide nos ressources et n'apporte rien. Il faut de l'équité. S'ils dépensent et ne contribuent pas, je suis désolé mais... Les ressources sont rares. L'autre jour encore, les journaux disaient que l'on avait un million d'analphabètes. En quoi peuvent-ils nous servir pour la société de la connaissance ? Ils vont uniquement grossir la masse des parasites, qui vivent sur le dos des autres. Donc, le bon tiers ce sont: les analphabètes, les chômeurs de longue durée, les malades chroniques, les retraités pauvres (on va pas mettre tous les vieux parce que nous ne sommes pas des animaux et il faut penser à nos parents et grands-parents), les SDF, les mendiants et les gitans, bien entendu. Et les handicapés. Pas tous. Mais s'ils n'ont pas une famille qui peut supporter le coût de l'assistance qu'on leur porte, on ne pourra pas laisser ce fardeau à la société. Ce ne serait pas juste. Et nous devons promouvoir la justice sociale.
Le deuxième tiers doit avoir un maître. C'est ennuyeux d'avoir encore besoin de quelques ouvriers, mais qu'ils puissent penser qu'ils commandent dans notre pays parce qu'ils votent ce n'est plus possible. Pour commencer, le pays n'est pas compétitif avec les gens qui vivent décemment. Je ne dis pas qu'il faille revenir à l'esclavage, mais à vrai dire les sociétés ont beaucoup évolué grâce à lui. Cela libère des ressources pour faire des investissements et de l'innovation afin de garantir le progrès et cela permet l'oisiveté des classes aisées, qui en ont bien besoin. L'ennui, c'est qu'on ne peut pas éliminer les ouvriers comme les sous-hommes car on a besoin de ces types pour faire des choses emmerdantes et, en plus (pour l'instant), ils votent - bien que la majorité ne vote pas ou vote pour nous. Ce qu'il faut c'est en finir avec ces droits garantis qui font qu'ils travaillent le minimum et vivent à l'ombre des cocotiers. Ils doivent être ce que les communistes disent qu'ils sont : des prolétaires. Il faut en finir avec le droit du travail, la stabilité de l'emploi, leur réduire le niveau de vie de façon à ce qu'ils comprennent qui commande. Ils doivent toujours être morts de peur : peur de perdre leur travail et de devenir des sous-hommes, de mourir de faim au milieu de la rue. Et il faut les gaver de football, de telenovelas et de téléréalité pour les anesthésier et pour qu'ils pensent que leurs enfants vont devenir des stars du hip-hop ou quelque chose du style.
Le dernier tiers, ce sont des professionnels et des techniciens, qui produisent des services essentiels, tels les médecins et les ingénieurs. On les a déjà convaincus que lutter contre les inégalités n'est pas supportable, que pour qu'ils puissent vivre confortablement, il n'y a pas d'autres choix que de liquider les gitans et les chômeurs et en finir avec le RMI et que pour payer leurs soins, on ne peut payer ceux des pauvres.
Avec un tiers de la population exterminée, un tiers anesthésiée et un tiers achetée, le pays peut redevenir stable et viable. La vérité, c'est que l'empreinte écologique de la société actuelle n'est pas supportable. Et si on n'agissait pas de la sorte, on ne pourrait pas garantir le niveau de luxe toujours plus élevé de la classe dirigeante, que j'espère atteindre un jour. Je ne vais pas rester à Massamá [quartier en banlieue de Lisbonne où il réside] toute ma vie".
- Jester01
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
C'est affreux ton truc
et pourtant la pensée collective est de plus en plus flippante
et pourtant la pensée collective est de plus en plus flippante
"La guerre, c'est le massacre de braves gens qui ne se connaissent pas pour le compte de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas"
Paul Valery
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- free
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
Horrible mais logique dans ce système (socio) économique.. si la guerre ne peut être que la seule issue pour relancer la machine, que la surpopulation est un frein à l'accroissement, la logique est simple et évidente.
"Ce que je constate : ce sont les ravages actuels ; c'est la disparition effrayante des espèces vivantes, qu'elles soient végétales ou animales ; et le fait que du fait même de sa densité actuelle, l'espèce humaine vit sous une sorte de régime d'empoisonnement interne — si je puis dire — et je pense au présent et au monde dans lequel je suis en train de finir mon existence. Ce n'est pas un monde que j'aime" Claude Lévi-Strauss
ben ouais, on est des nazes

"Ce que je constate : ce sont les ravages actuels ; c'est la disparition effrayante des espèces vivantes, qu'elles soient végétales ou animales ; et le fait que du fait même de sa densité actuelle, l'espèce humaine vit sous une sorte de régime d'empoisonnement interne — si je puis dire — et je pense au présent et au monde dans lequel je suis en train de finir mon existence. Ce n'est pas un monde que j'aime" Claude Lévi-Strauss
ben ouais, on est des nazes



Ø.....?.....Ø
Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
yop!!
nostradamus l avait predit!!!!!beaucoup de problemes sociaux en nos temps!!!!!!!
nostradamus l avait predit!!!!!beaucoup de problemes sociaux en nos temps!!!!!!!

Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
Jester01 a écrit :C'est affreux ton truc
et pourtant la pensée collective est de plus en plus flippante
+1free a écrit :Horrible mais logique dans ce système

- Taciturne
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
"lut,
Effectivement,l'article explique une politique qui ne concerne pas que les portugais,elle découle d'un probléme économique mondial.
La surpopulation est un probleme et supprimer ceux qui ne créent pas de richesses est peut etre la solution idéale d'un point de vue économique.
Mais il y a plus efficace...Sauf que c'est beaucoup plus aléatoire.
Je donne pas 20 ans avant un prochain "incident" nucléaire.
++
Effectivement,l'article explique une politique qui ne concerne pas que les portugais,elle découle d'un probléme économique mondial.
La surpopulation est un probleme et supprimer ceux qui ne créent pas de richesses est peut etre la solution idéale d'un point de vue économique.
Mais il y a plus efficace...Sauf que c'est beaucoup plus aléatoire.
Je donne pas 20 ans avant un prochain "incident" nucléaire.
++
"TOUT DOIT DISPARAÎTRE" qui disent
et on s'y applique...
De moins en moins doucement et de plus en plus surement...
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- sylv1
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
c'est pas la surpopulation le problème mais le système babylon, où tu offres ton ame et tes heures de vie à $atan
et pendant se temps on détruit habitat naturel et animaux pour renflouer notre train de vie...
on aura beau chercher des solutions, y'en a q'une seule
Peace !!
et pendant se temps on détruit habitat naturel et animaux pour renflouer notre train de vie...
on aura beau chercher des solutions, y'en a q'une seule

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Sur cette terre, on a grandi ensemble...
Ces grands frères nous ont aidés dans tous les domaines...
Nous leur sommes restés ingrats...
Une pensée pour nos compagnons de route,
les animaux.
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-
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- Enregistré le : 14 avr. 2012, 07:41
Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
De toute façon, éliminer ceux qui ne produisent pas de richesse, ou peu, ça veux dire un grand nombre de gens dans beaucoup de pays, ces mêmes gens dont ces pays ont tant besoin en tant qu'esclaves économique, justement parce que c'est un grand nombre de gens devenus dépendant du système Babylone-Satan cité au dessus, et que sans ces consommateurs, la catastrophe économique ne pourrait que s'aggraver à trés court terme ...
Alors quoi ? On supprime une partie de ce nombre comme solution, pour ensuite réduire en un esclavage pire ceux qui restent et qui ne font pas partie des élites dites classes aisées dans l'article, parce qu'il faut bien que ces classes aisées puissent s'adonner à l'oisiveté, eux qui, les pauvres en ont bien besoin toujours d'après l'article ?
Je pense que, comme c'est dit dans l'article, il faudrait plutôt se débarrasser de ceux qui dilapident les ressources et n'apportent rien : les fameuses classes aisées justement ...
Alors quoi ? On supprime une partie de ce nombre comme solution, pour ensuite réduire en un esclavage pire ceux qui restent et qui ne font pas partie des élites dites classes aisées dans l'article, parce qu'il faut bien que ces classes aisées puissent s'adonner à l'oisiveté, eux qui, les pauvres en ont bien besoin toujours d'après l'article ?
Je pense que, comme c'est dit dans l'article, il faudrait plutôt se débarrasser de ceux qui dilapident les ressources et n'apportent rien : les fameuses classes aisées justement ...
- bruno
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
et pourquoi ne pas TUER ceux qui les accaparentéliminer ceux qui ne produisent pas de richesse,
tout ceux qui partent en Belgique
peuple Belge
soulevez vous
arreter de payer des impots à la place de tous ces pourris

fumer c'est pas bien vaporiser c'est mieux
Président Directeur général des Volcanologues et amis de la vaporisation
section F.C.F
le club ----> viewtopic.php?f=2&t=33949
Nous sommes six milliards de bipèdes à tenir miraculeusement debout sur de fragiles petits pieds, en équilibre sur une boule de magma en fusion. Un véritable numéro de cirque
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
de toute facon la 3éme commence entre les states et les muzzz ( je suis du coté des ricains)!!!
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
Boarf , le controle démographique est une obligation sociétal pour que nos sociétés perdurent, mais bon ...
Don't feed the troll in me

Index des guides et tutoriels
"La question anarchiste devrait être : pourquoi se soucier d'affronter un pouvoir qui a perdu toute signification et qui n'est plus que pure simulation ?"
"Ce qui me fascine, c'est de voir qu'on ose encore présenter le travail comme une solution à la misère, malgré le fait qu'un SDF sur trois travaille, justement. C'est ça aussi, le miracle de la flexibilité. T'es flexible, mais tu peux pas louer d'appartement parce que le bailleur, il est pas tellement fan de ton CDD flexible, de tes périodes de chômage flexibles, de ton compte en banque flexible.
La pénurie de travail, comme si c'était ça le problème, comme si c'était pas l'argent, le problème. "



Index des guides et tutoriels
"La question anarchiste devrait être : pourquoi se soucier d'affronter un pouvoir qui a perdu toute signification et qui n'est plus que pure simulation ?"
"Ce qui me fascine, c'est de voir qu'on ose encore présenter le travail comme une solution à la misère, malgré le fait qu'un SDF sur trois travaille, justement. C'est ça aussi, le miracle de la flexibilité. T'es flexible, mais tu peux pas louer d'appartement parce que le bailleur, il est pas tellement fan de ton CDD flexible, de tes périodes de chômage flexibles, de ton compte en banque flexible.
La pénurie de travail, comme si c'était ça le problème, comme si c'était pas l'argent, le problème. "
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
shiva le destructeur a écrit :de toute facon la 3éme commence entre les states et les muzzz ( je suis du coté des ricains)!!!

Ben ouaip le Portugal est en crise et pas de la crisounette comme ici, il suffit de marcher dans la rue pour voir la profusion de commerces qui mettent la clef sous la porte



Comme toujours face à l’adversité les écarts de mentalité se creusent (je trouve cette satyre donc très intéressante)
Peuples du monde va falloir se serrer les coudes et serrer les fesses aussi accessoirement

Biodynamiseur de pesticides
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
.. mais bon, on n'est pas encore obligé de s'entretuer ? si ? ah bonFlask a écrit :Boarf , le controle démographique est une obligation sociétal pour que nos sociétés perdurent, mais bon ...



Ø.....?.....Ø
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Re: Moi, Premier Ministre, je tuerais 1/3 des portugais :
On a pas besoin de ce type de raison pour ça ^^ 

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"La question anarchiste devrait être : pourquoi se soucier d'affronter un pouvoir qui a perdu toute signification et qui n'est plus que pure simulation ?"
"Ce qui me fascine, c'est de voir qu'on ose encore présenter le travail comme une solution à la misère, malgré le fait qu'un SDF sur trois travaille, justement. C'est ça aussi, le miracle de la flexibilité. T'es flexible, mais tu peux pas louer d'appartement parce que le bailleur, il est pas tellement fan de ton CDD flexible, de tes périodes de chômage flexibles, de ton compte en banque flexible.
La pénurie de travail, comme si c'était ça le problème, comme si c'était pas l'argent, le problème. "



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"La question anarchiste devrait être : pourquoi se soucier d'affronter un pouvoir qui a perdu toute signification et qui n'est plus que pure simulation ?"
"Ce qui me fascine, c'est de voir qu'on ose encore présenter le travail comme une solution à la misère, malgré le fait qu'un SDF sur trois travaille, justement. C'est ça aussi, le miracle de la flexibilité. T'es flexible, mais tu peux pas louer d'appartement parce que le bailleur, il est pas tellement fan de ton CDD flexible, de tes périodes de chômage flexibles, de ton compte en banque flexible.
La pénurie de travail, comme si c'était ça le problème, comme si c'était pas l'argent, le problème. "