Ca peut pas fonctionner du coup dans une démocratie ...
Dans un régime totalitaire, sécuritaire ... ça fonctionne par contre

si c'est pas malheureux tous ces clodosFlask a écrit : je passais des nuits entières à me balader dans Paname le spliff au bec et la binouze à la main, maintenant je finirais souvent au poste si je continuais
free a écrit :si c'est pas malheureux tous ces clodosFlask a écrit : je passais des nuits entières à me balader dans Paname le spliff au bec et la binouze à la main, maintenant je finirais souvent au poste si je continuais![]()
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vivant ou mort le délinquant ?Boly a écrit : Pour en revenir aux jeunes délinquants comme évoqué plus haut, sachez qu'un flic (vivant) ça coute bien plus cher aux contribuables qu'un délinquants
T'es un gars bien toi, résister ça existe, mon patron le jours ou j'ai tout bien fait pis que moi pour une fois je lui demandais quelquechose, il a refusé, je suis parti.....acte volontaire, parceque moi jean ai eu marre qu'on me prenne pour une baltringue capable de tout.....chacun sa misère....ilovesnoopdog a écrit :c'est plutôt qui a donné l'ordre ?
Heu , ils exécutent, ton patron te dire de faire ça ! ben tu le fais .
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en gros pas un bon flic ^^Dédé La Crème a écrit :J'ai un pote flic dans le 18eme, ces dernieres paroles sur ces collegues de travail : lourd, beauf, et c*n...mais le genre de c*n à faire chier pour rien. Lui, proche de la nature, sportif, honnete, bois peu et fume pas, et pas mauvais envers les autres, une personne plutot rare je trouve.
des milliers peut etre pas , des centaines je dirais ..et sans logicieldes milliers de paharmaciens qui escroquent les assurances
avec et sans logicielKrugeR a écrit :des milliers peut etre pas , des centaines je dirais ..et sans logicieldes milliers de paharmaciens qui escroquent les assurances
http://www.ladepeche.fr/article/2010/12 ... acies.html
Arnaque géante dans les pharmacies
Une enquête a révélé l'existence d'un système informatique permettant de minorer les déclarations de recettes des pharmacies. Ce système pourrait avoir été utilisé par 4 000 pharmacies de France pour un préjudice pour le fisc estimé à 400 millions d'euros sur trois ans.
Une enquête sur des fraudes dans une pharmacie du Gard a révélé l'existence d'un système informatique permettant de minorer les déclarations de recettes. Ce système pourrait avoir été utilisé par 4 000 pharmacies de France pour un préjudice pour le fisc estimé à 400 millions d'euros sur trois ans.
Lancée en 2008 après un signalement de la Sécurité sociale portant notamment sur des soupçons de fraudes à l'ordonnance dans une pharmacie de Rémoulins (Gard), l'enquête a révélé l'utilisation par les propriétaires d'un logiciel dont une fonction « permet de minorer automatiquement les recettes à des fins de dissimulation fiscale », a expliqué hier le procureur de Nîmes, Robert Gelli.
« Le manque à gagner pour le fisc est très important. Il est fort probable qu'un montant de 400 millions d'euros soit en deçà de la réalité », a précisé un enquêteur de la section de recherches de la gendarmerie de Nîmes qui a mis au jour l'utilisation frauduleuse du logiciel.
Lors de leurs investigations concernant cette pharmacie, les enquêteurs ont constaté que « toute la comptabilité était automatiquement faussée » par le logiciel grâce à l'utilisation d'une fonction activée au moyen d'un code d'accès fourni par la société qui a commercialisé le système informatique de comptabilité.
« Ce logiciel n'a pas à la base un fonctionnement permissif mais il a une fonction qui permet d'aller dans la malhonnêteté », a poursuivi l'enquêteur.
La Direction générale des Finances publiques a confirmé avoir constaté dans le cadre du contrôle fiscal, « dans certaines pharmacies et aussi dans d'autres activités commerciales », l'utilisation de « logiciels permissifs », « qui permettent d'occulter les opérations imposables et donc de frauder le fisc ».
Elle n'a pas précisé le nombre de commerces concernés, ni le montant du préjudice subi par le fisc. Selon le procureur de Nîmes, « 4 000 pharmacies auraient demandé l'accès à cette formule particulière - à savoir le logiciel accompagné du code informatique - donnant à cette fraude une « ampleur nationale ».
Des ventes dissimulées
Selon le parquet, les dissimulations portent essentiellement sur les ventes de produits de parapharmacie, les médicaments étant soumis à des contrôles plus serrés, notamment par la Sécurité sociale.
Les deux plus grosses sociétés qui fournissent des systèmes de comptabilité informatiques aux pharmacies proposent des systèmes assez comparables. La société Alliadis, dont le siège social est à Niort, propose bien « ce mécanisme ».
Spécialisée dans la fourniture de services informatiques aux pharmacies, la société Alliadis revendique sur son site internet 9 380 clients en France et 41 % de parts du marché des officines.
Le chiffre : 4 000
Officines > Concernées. 4 000 pharmacies dans toute la France auraient demandé l'accès à ce logiciel frauduleux.
« Toute la comptabilité était automatiquement faussée par le logiciel. »
Un Enquêteur