dites il en est quoi maintenant ? c'etait bien hier non ?

Quand tu dis ça c'est avéré que Sensi a vendu à un labo pharamaceutique? Je capte pas l'intérêt? Ils chercheraient à un synthétiser un bouquet de molécules?The Happy Sower a écrit :note à l'indien !
yo mais tu crois que les laboratoires Bredocan on jouer les strains hunter pour trouver leurs seeds ??? rohh que non! il on faxer à Sensi et commander une ou deux caisses de seeds![]()
Le jour que les pharmacies française délivrerons du canna KIKI c'est qui aurra refourgé les seeds ????
A cette question pourquoi la réponse serait forcément SENSI et pas Artisan ????? peut être que malgré ma petite taille et le fait que j'suis illégal j'ai des arguments qui pourrais jouer en ma faveur![]()
Yo pourquoi tu crois que SENSI sponsorise tous ce qui touche de près ou de loin au canna MED ???? ben pour rafler tous le marché
donc tu crois franchement que j'vais laisser tout le gateau à SENSI alors que mes variétés non rien à envier au leurs et que dans le milieu ma réputation est p'être meilleur que celle qu'ils ont
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Nan mais tu me donnes un hangars, deux trois aides , un exo dans un labo, une autorisation de gouter le taff et 3500 net par mois et j'te fais des seeds par caisses pleines tout aussi bien que sensi
Moi avoir le droit de cultiver pour fumer ma weed tranquillou ca fait longtemps que j'ai oublier cette idée illusoiremoi j'suis passé direct au délire extrème de cultiver de la seeds, dans un gros hangard ... avec deux gardiens de la paix qui surveillerais l'entrée
donc si tu réfléchit bien tu conviendras que j'ai plus de chance que vous d'arriver à mes fins! pis au pire me restera toujours la solution d'envoyer mon CV à SENSI
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ben faut pouvoir dire qu'avec un ou deux hangards, un exo dans un labo on fait du 100% français et p'être que l'on pourrais même exporter chez les ricainsgeronimo a écrit :comment faire pur qu'ils reconnaissent d'autre variétés hormis SSB ?
http://www.tmvmag.fr/2013/03/05/le-cann ... signe.htmlLe Cannabis Social Club continue à s’exposer malgré la mise en examen de son chef de file.
Ce lundi 4 mars après-midi, quatre membres de la Fédération des Cannabis Social Clubs (CSC) français sont venus déposer leurs statuts d’association à la préfecture de Tours.
Le collectif, qui plaide pour la libre culture du cannabis et sa consommation en cercle privé, souhaite par ce biais mettre le débat sur la place publique, tout en tentant de faire entendre leur action. Pour l’instant, il s’agit uniquement de la Fédération regroupant les centaines de CSC français. Ceux-ci déposeront à leur tour, selon le plan stratégique annoncé, leurs statuts d’association, le 25 mars prochain, dans les préfectures de France. « L’objectif : jouer la transparence pour insister sur les bienfaits de ce mode de production tout en montrant patte blanche », avait expliqué Dominique Broc, le porte parole tourangeau des Cannabis social clubs, lors de notre rencontre en janvier dernier.
Une mise en examen
Cette action intervient alors que ce dernier a été mis en examen vendredi 22 février pour usage et détention de cannabis. La police avait alors détruit les 126 plants de cannabis qu’il partageait avec 15 autres des membres du club, au vu et au su de tous, depuis plusieurs mois.
Suite à cette interpellation, le chef de file du mouvement est convoqué au tribunal correctionnel le 8 avril prochain. Dominique Broc devra alors répondre de ses actes et défendre son mouvement. Il a promis une grande manifestation pour l’occasion.
Les médias sont attentifs à ce passage en force tourangeau et pour cause : Dominique Broc avait lancé ce mouvement pendant l’été 2012 et médiatisé son action sans relâche depuis décembre dernier, clamant haut et fort qu’il cultivait du cannabis chez lui avec ses amis pour éviter le marché noir et qu’il souhaitait faire bouger les lignes en prouvant qu’ils n’étaient pas les seuls et en incitant les autres auto-producteurs à se dénoncer comme lui.
Jeanne La Prairie