Et bien, ce fut mouvementé comme post.
En outdoor région océanique ou nordique où l'hygro peut poser de sacré souci en out, le choix de la génétique est plus que primordiale si la zone est peu venteuse. Tout ne pousse pas avec le même succès si tu veux. Je ne crois pas que tu aurais pu faire grand chose de plus, le coup du parachute j'ai bien aimé d'ailleurs... tu t'es donné la peine.
Pour les bonsaïs, tu as été trop pressé de bien faire à mon avis. Tu devrais retenter l'expérience avec une bouture, déjà pour être sur de ne pas donner autant d'énergie et de temps à un mâle que tu vas buter.
Et avec du terreau fin ou de la coco en substrat, beaucoup plus souple pour ce genre de travaux.
Et je veux absolument quoter un passage du début que j'ai trouvé très important à soulever :
Depuis quand ont utilise des modes de cultures selon l'architecture de la plante?
C'est ce qui différencie les pouces verts de ceux qui rament. La plante et son architecture est au centre de toutes les considérations justement. Exemple :
Scrogger une plante qui à des branches dures comme du bois très tôt... c'est aller droit à un travail ingrat.
Palisser une plante qui a 10 internoeuds sur 10 centimètres, c'est ralentir la plante pour lui faire faire un truc qu'elle sait très bien faire naturellement.
Utiliser une faible hauteur pour faire pousser des Hazes... suicidaire.
Cultiver une structure florale très dense en zone humide, c'est récolter moins (qualité/quantité/moisissures) qu'une maigre sativa qu'on a à peine engraissé.
Pousser des tomates coeur de boeufs dans une zone peu ensoleillée, mettre en serre amateur des péchers.... bref
La liste est longue...
Mais dans le crop ce n'est pas le cultivateur, le paysan, l'agriculteur etc... qui font la loi. Ce sont tout au plus des gardiens qui se doivent de s'adapter à toute circonstance.
Les meilleurs cultivateurs que j'ai rencontré, ceux qui ont réalisé l'impossible, cela a toujours été des personnes très à l'écoute de leurs plantes et pouvant à tout moment lire d'un coup d'oeil ce qu'elles demandent pour mieux leur offrir. Ceux qui rament le plus longtemps, ce sont ceux qui cherchent à imposer à leur plantes un vision des choses sans concessions ni souplesse.
On lutte pas contre le plus grand prédateur : dame nature. Si des espèces entières s'y sont cassés les dents jusqu'à être extérminés, je ne parles même pas sur le plan stellaire où là c'est la boucherie tous les jours avec des étoiles plus grosses que notre soleil qui y passe, je penses qu'il y a des conclusions à tirer pour ne pas pisser contre le vent, quand bien même tu t'achètes un ciré hors de prix.