le cannabis a-t-il des effets positifs sur la sclérose en plaque et/ou le lychen plant?
merci
le cannabis et la sclérose en plaque et lychen plant...?
J'ai failli faire mon sujet de fin d'étude sur cette maladie et je connais quelqu'un qui en est atteint. Je sais qu'elle se sent mieux en fumant et que lmes études sont plutôt bonne sur ce sujet.
Extrait de http://www.positifs.org/temoins/medicaux/tm3d.htm
Sclérose en plaque et cannabis : Témoignage de Jacques.
J'ai 53 ans et je suis atteint d'une sclérose en plaque depuis décembre 1995. J'ai un traitement "bétaféron" depuis 6 ans et demi.
Voilà 2 ans et demi, j'ai vu une émission sur l'utilisation thérapeutique du cannabis et, marre d'avaler un peu trop demédicaments, j'ai testé...
A l'époque, je remarchais modestement (100 mètres) aidé d'une canne ; autrement, fauteuil roulant...
J'ai essayé en un premier temps de fumer : les effets au niveau de la douleur sont indéniables.
Malgré tout, je constatais " un mieux " sans pour cela être pleinement satisfait.
J'ai donc tâtonné pour arriver à une décoction dans l'huile, une cuillère à soupe matin et soir pendant un mois ; les résultats furent différents : j'avais le sentiment de pouvoir gérer différemment la douleur.
Je suis donc parti sur un protocole de décoction + fumer et au regard des résultats obtenus, je n'ai pas changé le traitement.
Voilà 22 mois, on pouvait constater à l'IRM que des plaques étaient devenues inactives (donc la myéline ne se détruisait plus), mais il restait néanmoins des plaques actives où la maladie continuait à progresser.
Depuis juillet 2001, je remarche normalement ; ce fût difficile au début, il me fallait me remuscler et perdre du poids (j'étais à 125 kilos).
Je n'ai plus de canne ni de fauteuil et j'ai repris une activité professionnelle normale (je suis formateur multimédia).
Sur l'IRM, passée au mois de septembre 2002, on peut constater que plus aucune plaque n'est active et que du côté droit du cerveau, certains composants de la myéline se reconstituent. Le radiologue, pensant que sa machine était déréglée ou défaillante, effectua une deuxième fois les examens : les résultats sont là et bien là !
En deux ans, j'ai fait d'énormes progrès : je n'ai plus de déséquilibre à la marche ; je ne gère plus l'intensité de la douleur mais son apparition. J'ai une nouvelle vie !
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Extrait de http://www.actupparis.org/article1123.html
Tout comme la morphine, le cannabis utilisé à des seules fins thérapeutiques, n’a pas provoqué de problème de dépendance dans le cadre d’essais cliniques. Ces deux produits ont en commun, le fait de pouvoir être facilement et efficacement autodosé par le malade, quand on lui en laisse la possibilité.
D’après des calculs pronostics, la dose létale de cannabis pourrait être provoquée par la prise unique de 7,5 kg de cannabis séché ! Comparée avec la dose moyenne de THC utilisée dans le cadre des essais thérapeutique, le rapport dose thérapeutique/dose létale est de 1/40000. Sachant que pour le cannabis, les doses thérapeutiques sont généralement inférieures aux doses « récréatives ».
Au sens pharmacologique du terme, la tolérance signifie la capacité acquise progressivement de supporter des doses croissantes d’un produit sans effet indésirable grave. Le cannabis a une bonne tolérance, quand il est utilisé sous sa forme naturelle, grâce à l’un de ses cannabinoïdes, autre que le THC, naturellement présent dans la plante. Ainsi, avec l’utilisation des formes synthétiques de THC seul (la majorité des médicaments actuellement disponibles), des problèmes de tolérance apparaissent.
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Si tu veux plus d'i,fos, tu vas sur Google et tu tapes "sclérose en plaque cannabis"
Extrait de http://www.positifs.org/temoins/medicaux/tm3d.htm
Sclérose en plaque et cannabis : Témoignage de Jacques.
J'ai 53 ans et je suis atteint d'une sclérose en plaque depuis décembre 1995. J'ai un traitement "bétaféron" depuis 6 ans et demi.
Voilà 2 ans et demi, j'ai vu une émission sur l'utilisation thérapeutique du cannabis et, marre d'avaler un peu trop demédicaments, j'ai testé...
A l'époque, je remarchais modestement (100 mètres) aidé d'une canne ; autrement, fauteuil roulant...
J'ai essayé en un premier temps de fumer : les effets au niveau de la douleur sont indéniables.
Malgré tout, je constatais " un mieux " sans pour cela être pleinement satisfait.
J'ai donc tâtonné pour arriver à une décoction dans l'huile, une cuillère à soupe matin et soir pendant un mois ; les résultats furent différents : j'avais le sentiment de pouvoir gérer différemment la douleur.
Je suis donc parti sur un protocole de décoction + fumer et au regard des résultats obtenus, je n'ai pas changé le traitement.
Voilà 22 mois, on pouvait constater à l'IRM que des plaques étaient devenues inactives (donc la myéline ne se détruisait plus), mais il restait néanmoins des plaques actives où la maladie continuait à progresser.
Depuis juillet 2001, je remarche normalement ; ce fût difficile au début, il me fallait me remuscler et perdre du poids (j'étais à 125 kilos).
Je n'ai plus de canne ni de fauteuil et j'ai repris une activité professionnelle normale (je suis formateur multimédia).
Sur l'IRM, passée au mois de septembre 2002, on peut constater que plus aucune plaque n'est active et que du côté droit du cerveau, certains composants de la myéline se reconstituent. Le radiologue, pensant que sa machine était déréglée ou défaillante, effectua une deuxième fois les examens : les résultats sont là et bien là !
En deux ans, j'ai fait d'énormes progrès : je n'ai plus de déséquilibre à la marche ; je ne gère plus l'intensité de la douleur mais son apparition. J'ai une nouvelle vie !
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Extrait de http://www.actupparis.org/article1123.html
Tout comme la morphine, le cannabis utilisé à des seules fins thérapeutiques, n’a pas provoqué de problème de dépendance dans le cadre d’essais cliniques. Ces deux produits ont en commun, le fait de pouvoir être facilement et efficacement autodosé par le malade, quand on lui en laisse la possibilité.
D’après des calculs pronostics, la dose létale de cannabis pourrait être provoquée par la prise unique de 7,5 kg de cannabis séché ! Comparée avec la dose moyenne de THC utilisée dans le cadre des essais thérapeutique, le rapport dose thérapeutique/dose létale est de 1/40000. Sachant que pour le cannabis, les doses thérapeutiques sont généralement inférieures aux doses « récréatives ».
Au sens pharmacologique du terme, la tolérance signifie la capacité acquise progressivement de supporter des doses croissantes d’un produit sans effet indésirable grave. Le cannabis a une bonne tolérance, quand il est utilisé sous sa forme naturelle, grâce à l’un de ses cannabinoïdes, autre que le THC, naturellement présent dans la plante. Ainsi, avec l’utilisation des formes synthétiques de THC seul (la majorité des médicaments actuellement disponibles), des problèmes de tolérance apparaissent.
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