

J'aimerais bien voir ton graphe sur les essais nucléaires, comme cela on verrait mieux pourquoi je mange plus de banane

- Samedi 12 novembre 2011, Iode 131, césium 134 et césium 137 à la centrale de Krško (Slovénie) : http://fukushima.over-blog.fr/article-i ... 42827.htmlSelon l’AIEA, de très faibles niveaux d'iode-131 radioactive ont été détectés en République tchèque et « ailleurs » en Europe, mais les particules sont considérées comme ne présentant pas un risque de santé publique.
L'Agence internationale de l'énergie atomique, basée à Vienne, a déclaré qu'elle cherchait à déterminer cette source radioactive en estimant a priori que cette pollution ne pouvait pas provenir du Japon.
Dans les journaux, à la tv... quelque chose ? non rien de rien...D’après le site public European Radiological Data Exchange Platform, de l’iode-131 est détecté uniquement en Slovénie et en Croatie, à quatre endroits différents : à Zagreb, à Ljubljana, à Krsko, et à la limite des trois pays Croatie-Hongrie-Serbie.
0,1 µSv, ça correspond +- à la moitié de la dose qu'on choppe sur une journée de travail sur site nucléaire (ça dépend des zones bien sur), généralement entre 0,1 et 0,4 µSv par jour .Cannaweb a écrit :manger une banane = 0.1µSvJe mange plus de banane
Pollution à l’iode radioactif en Europe : Accident à la centrale de Krško ?
Depuis plusieurs jours des taux anormaux d'Iode 131 radioactif ont été detectés en Slovénie et en Hongrie. La contamination est maintenant constatée aussi en France. Les agences de sureté nucléaire restent muettes comme des tombes.
http://www.agoravox.fr/actualites/envir ... -en-104378
Rejets d'’iode radioactif en Europe : Urgent de déterminer l'origine de la situation
AFP
LYON – La Criirad a estimé mercredi, après la détection en France de rejets d’iode radioactif dans l’air en provenance d’un pays inconnu, qu’il y avait
urgence à déterminer l’origine de la contamination, afin de protéger les populations proches de la source de ces rejets.
Mardi, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a annoncé la détection dans l’air en France de mystérieux rejets d’iode radioactif, trop faibles toutefois pour constituer un danger.
L’origine de ces rejets étant inconnue, l’IRSN a appelé le coupable à se dénoncer et les pays européens à coopérer pour le démasquer.
De faibles niveaux d’iode 131 ont été relevés en République tchèque et en Pologne notamment.
Pour ce qui concerne la France, les analyses lancées par l’IRSN montrent de très faibles niveaux de concentration d’iode radioactif dans la moitié nord du pays.
Et dans son communiqué, la Criirad (Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité) souligne que ses 5 balises de contrôle de la radioactivité en Vallée du Rhône n’ont jusqu’à présent détecté aucune contamination.
La Criirad fait part de sa préoccupation dans la mesure où, plusieurs semaines après le début de la contamination, aucune autorité, ni au niveau international,
ni au niveau national de quelque pays que ce soit, n’a été en mesure de désigner l’origine de la contamination.
Pour la Criirad, il y a urgence car les populations proches de la source pouraient avoir été ou être encore exposées à des doses importantes de radioactivité.
S’agissant de l’iode 131 rejeté dans l’atmosphère, les doses subies par ingestion dans les jours suivant le rejet peuvent être plus élevées que celles liées à l’inhalation, met en garde la Commission.
Des irradiations inutiles peuvent donc être encore évitées si les populations concernées sont informées et que des mesures de protection sont prises, conclut la Criirad.
AFP
http://realinfos.wordpress.com/2011/11/ ... amination/
PARIS (AP) — Après avoir envoyé les membres du gouvernement au front, le chef de l'Etat s'invite dans le débat sur le nucléaire. Nicolas Sarkozy a affirmé jeudi qu'il ne laisserait pas "brader cet avantage pour la France", critiquant clairement l'accord conclu entre le Parti socialiste et Europe Ecologie-Les Verts sur le sujet.
"Je ne laisserai pas remettre en cause ce qui est un atout exceptionnel et je ne laisserai pas dilapider l'héritage industriel et énergétique bâti ces cinquante dernières années", a martelé le chef de l'Etat, saisissant l'occasion d'un discours à l'Elysée sur le Fonds stratégique d'investissement (FSI) pour s'exprimer sur le sujet.
"Les industriels paient leur énergie 40% moins cher que les autres pays européens, grâce à cette filière industrielle du nucléaire, toutes les familles politiques françaises ont porté cet effort national sans précédent qui a permis à la France d'être au premier rang, je ne laisserai pas brader cet avantage en France, ce serait irresponsable", a-t-il insisté.
"C'est une affaire solennelle", a répété M. Sarkozy. "Abandonner cette énergie, réduire autoritairement sa part dans notre mix énergétique, sans disposer de solution de substitution présentant les mêmes caractéristiques, cela signifie des dommages considérables à l'industrie française. Le prix de l'électricité est l'un des rares avantages concurrentiels par rapport à nos partenaires".
"Dans les six décennies de travail de la France, il y a eu des gouvernements de gauche et des gouvernements de droite, c'est le potentiel des Français, c'est la France, l'industrie nucléaire", a souligné le chef de l'Etat, affirmant que "tous les présidents de la République depuis 1958 ont maintenu l'effort de la France" dans le domaine nucléaire civil.
Ce sujet a jusqu'à présent fait l'objet d'un "consensus politique exemplaire et si rare dans notre pays", a-t-il ajouté, faisant allusion à la politique de développement du nucléaire civil menée par le Parti socialiste lorsqu'il était au pouvoir.
L'accord conclu mardi par le PS et EELV prévoit "la fermeture progressive de 24 réacteurs, en commençant par l'arrêt immédiat de Fessenheim et ensuite des installations les plus vulnérables" en raison de leur âge ou de leur localisation en zone sismique ou inondable. La part du nucléaire dans la production électrique française doit ainsi passer de 75% aujourd'hui à 50% en 2025.
Mercredi, plusieurs ministres et représentants de la majorité ont critiqué vertement cet accord, jugé "inepte" par le ministre de l'Industrie Eric Besson, et dénoncé comme un "troc" par la porte-parole du gouvernement Valérie Pécresse, qui accuse le PS d'échanger "des centrales nucléaires contre des circonscriptions".
Nicolas Sarkozy a milité tout au long de son mandat en faveur de l'industrie nucléaire française: "le nucléaire offre à la France une électricité compétitive, non émettrice de CO2, non dépendante des ressources en énergie fossile", a-t-il une nouvelle fois argué jeudi. AP
Les conséquences de l’accident nucléaire de Fukushima sur la population commencent à montrer leur étendue. Pneumonies, leucémies ou problèmes hormonaux semblent se multiplier chez les deux millions d’habitants de la région. Les enfants sont en première ligne, alors que les terres, les eaux et certains aliments sont fortement contaminés. De son côté, Tepco, l’exploitant de la centrale, sombre dans le cynisme : les éléments radioactifs qui se sont échappés des réacteurs ne lui appartiennent plus…
Le présentateur de télévision Norikazu Otsuka, qui consommait en direct des produits de la région de Fukushima pour en montrer l’innocuité, a récemment été hospitalisé pour une leucémie aigüe.