
les "cannabis factories"



Plus de mine à charbon,plus de gaz,plus d'agriculture,plus d'élevage,plus de textile,plus de....
Il nous reste le cannabis.
Le développement de ces cultures s'explique premierement en raison des mauvaises fréquentations qu'il faut avoir pour acheter une barette de shit, et deuxiemement par la "merde" vendue au coin des rues (shit coupé avec parafine, ainé, huile de vidange, etc). Bref c'est un moindre mal, les consommateurs-cultivateurs ont au moins l'avantage de savoir exactement ce qu'ils fument...
Sans prosélitisme aucun.
Si on commence à poster les saisies de hash ¨com¨ on a pas finit..., et pis c'est pas vraiment en accord avec le fofo je trouve...Bidule. a écrit :Presque 500 kilos réparti dans trois voitures:
http://alsace.france3.fr/info/haute-als ... +Alsace%29
En moins de deux mois ça fait déja la deuxième fois, qu'ils tombent sur des grosses quantité dans le nord-est.
16/12/10 21:32
Maastricht dans son droit en refusant le "tourisme de la drogue"
La Cour européenne de Justice a jugé jeudi que la ville néerlandaise de Maastricht était dans son droit lorsqu'elle a refusé de laisser des étrangers acheter du cannabis. /Photo d'archives/REUTERS/Jerry Lampen (c) Reuters La Cour européenne de Justice a jugé jeudi que la ville néerlandaise de Maastricht était dans son droit lorsqu'elle a refusé de laisser des étrangers acheter du cannabis. /Photo d'archives/REUTERS/Jerry Lampen (c) Reuters
par Aaron Gray-Block
AMSTERDAM (Reuters) - La ville néerlandaise de Maastricht était dans son droit lorsqu'elle a refusé de laisser des étrangers acheter du cannabis, a jugé jeudi la Cour européenne de Justice.
Le CIJ a estimé que le bourgmestre (maire) de Maastricht, ville située près des frontières belge et allemande, avait le droit de fermer un "coffee shop" qui vendrait du cannabis à des non-résidents.
"L'interdiction d'admettre des non-résidents dans les 'coffee shops' (...) constitue une mesure capable de limiter de manière importante le tourisme de la drogue et dès lors de réduire le problème qu'il cause", dit la CIJ dans son jugement.
Le propriétaire du café "Easy Going" avait demandé l'annulation d'une décision prise en 2005 par le bourgmestre d'interdire aux étrangers d'acheter de la drogue dans les cafés de la ville.
Le gouvernement des Pays-Bas a fait part le mois dernier de son intention d'introduire une mesure similaire dans l'ensemble du pays, mais un tribunal néerlandais doit encore rendre, l'an prochain, un verdict définitif sur le cas de Maastricht.
Cependant, Manon Fokke, conseillère municipale de Maastricht, a déclaré que la ville était maintenant opposée à une interdiction de vendre du cannabis aux touristes parce que cela entraînerait un accroissement du commerce illégal.
Elle a ajouté que Maastricht souhaitait désormais déplacer les cafés où l'on peut acheter du cannabis à la périphérie de la ville, plus près de la frontière, afin d'améliorer la sécurité dans la ville.
PLUS DE DEUX TIERS DU CANNABIS ACHETÉ PAR DES ÉTRANGERS
Cette nouvelle position de la ville renvoie à celle d'Amsterdam qui s'est aussi déclarée hostile à l'interdiction de vente de cannabis aux étrangers proposée par le gouvernement.
Cependant, Wim van der Weegen, porte-parole du ministère de la Sécurité et de la Justice, a déclaré que le gouvernement était déterminé à imposer cette mesure dans l'ensemble du pays et sans exception.
Les Pays-Bas sont le seul pays de l'Union européenne où la vente de drogues douces est tolérée. La possession de drogues douces pour un usage personnel a été dépénalisée et, bien qu'elle reste interdite, leur vente est tolérée dans les "coffee shops".
Selon des éléments livrés par la CEJ, à Maastricht, la vente de cannabis représente un volume annuel de 10 millions d'euros et 70% est acheté par des étrangers dans les 14 "coffee shops" de la ville.
Le propriétaire de l'"Easy Going" faisait valoir que l'interdiction violait le principe du marché unique européen qui accorde aux ressortissants de l'Union européenne un accès égal aux biens et aux services. La Cour a reconnu que les touristes se voyaient refuser certains droits mais elle a néanmoins rejeté l'argument.
Avec Juliane von Reppert-Bismarck à Bruxelles; Nicole Dupont pour le service français
Je vois pas en quoi quelqu'un qui viens juste pour acheter de la drogue (et accessoirement foutre le bordel pour une certaine catégorie) est un touriste. Et puis entre nous le respect yen a jamais eu pour les touriste quand tu vois des coffee qui te vendent de la merde 10euro le /g mini. Ca va développer le production locale c'est pas plus mal!Hé oui ont prend l'argent des touristes, mais aucun respect pour eux..