Les gros cubes, le retour
- sylv1
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rhooo mais c'est les même tofs que t'haleure?
vite avant qu'un modo effacce, met celles où y font une sodomie a sec !
vite avant qu'un modo effacce, met celles où y font une sodomie a sec !
Sur cette terre, on a grandi ensemble...
Ces grands frères nous ont aidés dans tous les domaines...
Nous leur sommes restés ingrats...
Une pensée pour nos compagnons de route,
les animaux.
Ces grands frères nous ont aidés dans tous les domaines...
Nous leur sommes restés ingrats...
Une pensée pour nos compagnons de route,
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- Membre des FCF
- Messages : 5122
- Enregistré le : 30 déc. 2002, 14:49
y a 4 ans t'aurais ptetre été celui qui a supprimé ce topic ! 

La tolérance zéro c'est l'intolérance totale ! K.
Tchernobyl m'a tuer !
Et vive la hout !
tu veux te bastonner ?!
Tchernobyl m'a tuer !
Et vive la hout !

tu veux te bastonner ?!
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- Membre des FCF
- Messages : 5122
- Enregistré le : 30 déc. 2002, 14:49
mais c un post sympa, le probleme c que tu oublies vite tout les posts sympa que t'as supprimé toi meme. sans rancunes

edit : le niveau était guère plus bas



edit : le niveau était guère plus bas
La tolérance zéro c'est l'intolérance totale ! K.
Tchernobyl m'a tuer !
Et vive la hout !
tu veux te bastonner ?!
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Et vive la hout !

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- Torto
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- Enregistré le : 04 mai 2006, 15:54
- portnou
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- Messages : 11481
- Enregistré le : 23 janv. 2003, 12:56
- Gender :
et pas de pain non plus .
Ah la bonne baguette, bien chaude et croustilante quand elle sort du four.
A humer son odeur, on est transporté dans les champs de blé, en été, quand le soleil brille dans un ciel d'azur et qu'il fait si chaud, mais que la moisson bat son plein.
On ressent la sensation du grain de blé gorgé de soleil et du bonheur qu'il va donner dans les mains du meunier. On entend le soufle du vent qui fait tourner les pales de la meule ancestrale.
On se trouve en symbiose avec le boulanger, qui plein d'amour a petri cette pate cherie au cours de la nuit.
Oui, c'est bon le pain
Ah la bonne baguette, bien chaude et croustilante quand elle sort du four.
A humer son odeur, on est transporté dans les champs de blé, en été, quand le soleil brille dans un ciel d'azur et qu'il fait si chaud, mais que la moisson bat son plein.
On ressent la sensation du grain de blé gorgé de soleil et du bonheur qu'il va donner dans les mains du meunier. On entend le soufle du vent qui fait tourner les pales de la meule ancestrale.
On se trouve en symbiose avec le boulanger, qui plein d'amour a petri cette pate cherie au cours de la nuit.
Oui, c'est bon le pain

la violence est le dernier refuge de l'incompétence