Un autre «club compassion»...
Un autre «club compassion»...
Un commerçant de Montréal offrira du cannabis aux possesseurs de certificat
Presse Canadienne (PC) 27/10/2004 06h21
Un autre établissement promettant la vente de cannabis et la tolérance de sa consommation sur place ouvrira ses portes vendredi à Montréal, rue Saint-Denis.
Ce qui sera considéré comme un autre «club compassion» sera la propriété de David Mckenzie, qui promet de vendre de la marijuana à quiconque montrera un certificat médical attestant que les balises fixées par le gouvernement du Canada seront respectées.
Ainsi, un sachet de 25 grammes de marijuana produite au Québec coûtera 200 $.
Par contre, aucune boisson alcoolisée ne sera vendue à cet établissement situé dans les locaux de l'ancien bistrot California.
M.Mckenzie, un Manitobain d'origine âgé de 48 ans, fume lui-même de la marijuana depuis l'adolescence. Il dénonce que les médecins québécois, au contraire de leurs confrères d'ailleurs au Canada, demeurent hésitants à prescrire le cannabis pour atténuer des souffrances.
Pour sa part, la police de Montréal promet que toute vente de marijuana conduira à des arrestations, comme ce fut le cas l'année dernière au Café Marijane, rue Rachel.
Ainsi, la confusion entre la tolérance du gouvernement et celle de la police persiste.
Presse Canadienne (PC) 27/10/2004 06h21
Un autre établissement promettant la vente de cannabis et la tolérance de sa consommation sur place ouvrira ses portes vendredi à Montréal, rue Saint-Denis.
Ce qui sera considéré comme un autre «club compassion» sera la propriété de David Mckenzie, qui promet de vendre de la marijuana à quiconque montrera un certificat médical attestant que les balises fixées par le gouvernement du Canada seront respectées.
Ainsi, un sachet de 25 grammes de marijuana produite au Québec coûtera 200 $.
Par contre, aucune boisson alcoolisée ne sera vendue à cet établissement situé dans les locaux de l'ancien bistrot California.
M.Mckenzie, un Manitobain d'origine âgé de 48 ans, fume lui-même de la marijuana depuis l'adolescence. Il dénonce que les médecins québécois, au contraire de leurs confrères d'ailleurs au Canada, demeurent hésitants à prescrire le cannabis pour atténuer des souffrances.
Pour sa part, la police de Montréal promet que toute vente de marijuana conduira à des arrestations, comme ce fut le cas l'année dernière au Café Marijane, rue Rachel.
Ainsi, la confusion entre la tolérance du gouvernement et celle de la police persiste.