Révolte nationale
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sylv1
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free
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vu sur http://www.toutsaufsarkozy.com
Le 13 novembre marquera le début de la "grande dissidence", du rassemblement des "refusants" pour exiger le départ du gouverneur Sarkozy.
Après le nouveau et affligeant spectacle offert par le petit gouverneur Sarkozy aux Etats-Unis, après celui en Russie où Poutine a pu le qualifier de « dourak! » (connard), la presse anglo-saxonne, qui n'a pourtant pas un odorat très développé, l'appelle désormais « pépé le putois » (vous savez, ce mamifère qui crie sans arrêt et qui pue). C'est gentil, un peu comme « le petit-pois sauteur » de Cécilia. En privé, le modéré Fillon, sous-ministre encore vaguement en exercice, l'appelle désormais « le fou du château ». Même Bush et Olmert, pourtant ses commanditaires, commencent à douter de la santé mentale de leur poulain. « Ses » députés et « ses » électeurs, aussi « collaborateurs » soient-ils, s'interrogent désormais sur la justesse de leur « mauvais choix » et commencent à faiblir nettement dans leur soutien...
Depuis l'origine du site, fin 2006, nous l'appelons « le néfaste », « le nuisible », celui qu'il est impératif d'écarter radicalement, et le plus rapidement possible du gouvernement de la province « France ».
Le neutraliser? Cela ne serait pas très « légal », encore qu'un homme qui prétend imposer aux Français un « traité simplifié » reprenant - « à 99% », dixit Giscard qui s'y connaît-, un texte massivement rejeté par referendum, bafoue le suffrage universel et rend sacré le devoir d'insurrection pour tout citoyen se considérant encore comme «Français ». Car Sarkozy commet là une véritable forfaiture, une violation délibérée, voulue, refléchie et outrageante de la Constitution.
Alors, la grève générale illimitée? Descendre dans la rue? Cela peut être « la » solution pour contraindre cet individu et sa clique de malfaisants corrompus à disparaître. Un grand coup de balai révolutionnaire est l'unique possibilité de mettre fin au cauchemar actuel, sans exemple dans l'histoire de notre pays.
Car cet homme ose tout, et surtout le pire (c'est même à cela que l'on reconnaît ceux de sa race ). En l'espace de quelques mois, il a retourné les alliances et la politique étrangère de la France au bénéfice de ses commanditaires étrangers, Etats-Unis et Israël. Il s'efforce, au bénéfice des forces mondialistes qui l'ont fait élire et le financent, de briser tout esprit de résistance au nouvel ordre mondial, nouvel âge glaciaire de la civilisation.
La mise au pas de « l'exception française » passe par la liquidation de nos services publics, de notre agriculture, de notre pêche, de nos universités etc...Il entend privatiser l'Etat, remplacer le code du travail par le code du capital, autoriser la criminalité économique: après le bouclier fiscal pour ses amis milliardaires mondialistes, le bouclier juridique (1 milliard de bénéfices pour le groupe de l'ami et sponsor Lagardère , l'impunité pour les 1200 voleurs d'EADS, + 206% d'augmentation de salaire pour lui etc...). Il faudrait être aveugle pour ne pas s'en rendre compte! Sarkozy est bien « le grand liquidateur » contre lequel nous n'avons cessé, avec nos modestes moyens, de vous alerter.
Depuis janvier 2007, et malgré les deux mois d'interruption de l'été dernier, le site a reçu près de 900 000 visites, ce qui n'est pas négligeable pour un site « radical », mais il vous appartient d'amplifier ce premier succès en rediffusant massivement tel ou tel article, ou ce « Pan sur Sarkozy », à tous vos amis et toutes vos listes de diffusions et groupes internet.
Si vous êtes un vrai « résistant », il est préférable de ne pas nous contacter directement car, bien que notre serveur soit à l'étranger, nos communications informatiques en France sont surveillées par la « police de la pensée ». Les vrais « résistants » savent ce qu'ils ont à faire, là où ils sont, avec les moyens qui sont les leurs ou qu'ils se donneront.
Et il y a la plus extrême urgence à agir: dans vos entreprises, dans vos banlieues, dans vos ministères et administrations, dans vos universités, dans vos unités. C'est l'alarme! Volonté et courage de résister au pire, à l'insupportable! L'heure est désormais au combat, sous toutes ses formes. Le 13 novembre et les jours qui suivent annonceront la « grande dissidence » d'un nombre sans cesse croissant de Français vis à vis du « système Sarkozy » de liquidation de la France que nous aimons.
Ø.....?.....Ø
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sylv1
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chris
salut à toutes et tous,
l'état est l'expression politique du régime économique auquel est soumise la société.
il permet et justifie l'oppression et l'exploitation de l'homme par l'homme : il confisque à l’individu son pouvoir en dictature comme en démocratie (élections) et met ce pouvoir au service du capital (répression des mouvements sociaux, aides financières…).
l'état, à force d'être omnprésent, finit par se superposer à la société, et tente de faire croire qu'en dehors de lui elle ne saurait fonctionner.
cette illusion est d’autant plus pathétique que l'état constitue de fait un groupe social à part entière, coupé des réalités des individus et des autres groupes sociaux.
il ne sert qu’à maintenir l’ordre (fonctions législative et répressive) au service des intérets de la classe exploiteuse.
il s'appuie pour cela sur une morale dégradante et humiliante pour l'etre humain, secondé en ce sens par la religion qui légitime elle aussi l'exploitation et la domination.
nous devrions tous ensemble refuser ce modèle sociétaire, oppresseur, exploiteur, négation de l'individu et de ses aspirations. cette société est à nous, il faut la gérée directement et librement par ses diverse composantes : individus, groupements sociaux, économiques, culturels, et ce dans le cadre du fédéralisme.
ce sont bien les états qui se partagent et gouvernent la planète.
c'est bien à eux, que l'on doit le désordre économique dans lequel nous vivons.
faire mieux que les états dans les domaines du chaos et de l'horreur est difficile...
qui peut croire encore que le pouvoir est synonyme d'organisation
ceux qui vivent du pouvoir, très certainement.
le chaos institutionnalisé, le pouvoir et l'esclavage ont fait leur temps.
l'organisation est fonction du degré de conscience, discussions, débats, confrontation d'idées, action.
plus cette conscience sera grande et plus la vitalité de l'organisation sera élevée. peut-etre faudrait-il aller de la base au sommet, de l'unité au nombre, du particulier au collectif...
le fédéralisme permet à chacun de rester lui-même, de se soustraire à tout écrasement, de garder son autonomie, de prendre une part active à la vie de l'organisation, d'émettre son opinion.
ici, ne sommes nous pas tous et toutes féderé autour d'un même but et pour autant gardons nous pas nos spécificités
émancipation économique d'abord, par la réappropriation des outils de production, leur gestion directe par les travailleurs eux mêmes, et par la répartition égalitaire des richesses.
émancipation politique ensuite, par le remplacement de la bureaucratie d'état, par une organisation fédéraliste des secteurs de la société,
émancipation intellectuelle, enfin, via la prise en charge par l'individu de son rôle social, reléguant la religion et toute forme de soumission aux chiottes.
c’est surement à chacun et chacune d’entre nous, d’agir localement.
nos actions finiront par se rencontrer.
et pour finir, les libertés ne se donnent pas, elles se prennent (pas de moi)
édité pour DJ :1000 excuses les fautes si elles y sont c'est que je ne les voies pas, pour la présentation OK
tchao
l'état est l'expression politique du régime économique auquel est soumise la société.
il permet et justifie l'oppression et l'exploitation de l'homme par l'homme : il confisque à l’individu son pouvoir en dictature comme en démocratie (élections) et met ce pouvoir au service du capital (répression des mouvements sociaux, aides financières…).
l'état, à force d'être omnprésent, finit par se superposer à la société, et tente de faire croire qu'en dehors de lui elle ne saurait fonctionner.
cette illusion est d’autant plus pathétique que l'état constitue de fait un groupe social à part entière, coupé des réalités des individus et des autres groupes sociaux.
il ne sert qu’à maintenir l’ordre (fonctions législative et répressive) au service des intérets de la classe exploiteuse.
il s'appuie pour cela sur une morale dégradante et humiliante pour l'etre humain, secondé en ce sens par la religion qui légitime elle aussi l'exploitation et la domination.
nous devrions tous ensemble refuser ce modèle sociétaire, oppresseur, exploiteur, négation de l'individu et de ses aspirations. cette société est à nous, il faut la gérée directement et librement par ses diverse composantes : individus, groupements sociaux, économiques, culturels, et ce dans le cadre du fédéralisme.
ce sont bien les états qui se partagent et gouvernent la planète.
c'est bien à eux, que l'on doit le désordre économique dans lequel nous vivons.
faire mieux que les états dans les domaines du chaos et de l'horreur est difficile...
qui peut croire encore que le pouvoir est synonyme d'organisation
ceux qui vivent du pouvoir, très certainement.
le chaos institutionnalisé, le pouvoir et l'esclavage ont fait leur temps.
l'organisation est fonction du degré de conscience, discussions, débats, confrontation d'idées, action.
plus cette conscience sera grande et plus la vitalité de l'organisation sera élevée. peut-etre faudrait-il aller de la base au sommet, de l'unité au nombre, du particulier au collectif...
le fédéralisme permet à chacun de rester lui-même, de se soustraire à tout écrasement, de garder son autonomie, de prendre une part active à la vie de l'organisation, d'émettre son opinion.
ici, ne sommes nous pas tous et toutes féderé autour d'un même but et pour autant gardons nous pas nos spécificités
émancipation économique d'abord, par la réappropriation des outils de production, leur gestion directe par les travailleurs eux mêmes, et par la répartition égalitaire des richesses.
émancipation politique ensuite, par le remplacement de la bureaucratie d'état, par une organisation fédéraliste des secteurs de la société,
émancipation intellectuelle, enfin, via la prise en charge par l'individu de son rôle social, reléguant la religion et toute forme de soumission aux chiottes.
c’est surement à chacun et chacune d’entre nous, d’agir localement.
nos actions finiront par se rencontrer.
et pour finir, les libertés ne se donnent pas, elles se prennent (pas de moi)
édité pour DJ :1000 excuses les fautes si elles y sont c'est que je ne les voies pas, pour la présentation OK
tchao
Modifié en dernier par chris le 22 nov. 2007, 13:50, modifié 1 fois.
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Don Juan
Fille de joie, soigne la mise en page ça fait mal aux yeux. Les fautes aussi.
chris a écrit :salut à toutes et tous,
l'état est l'expression politique du régime économique[/list] auquel est soumise la société.nous devrions tous ensemble refuser ce modèle sociétaire, oppresseur, exploiteur, négation de l'individu et de ses aspirations. cette société est à nous, il faut la gérée directement et librement par ses diverse composantes : individus, groupements sociaux, économiques, culturels, et ce dans le cadre du fédéralisme.
- il permet et justifie l'oppression et l'exploitation de l'homme par l'homme : il confisque à l’individu son pouvoir en dictature comme en démocratie (élections) et met ce pouvoir au service du capital (répression des mouvements sociaux, aides financières…).
l'état, à force d'être omnprésent, finit par se superposer à la société, et tente de faire croire qu'en dehors de lui elle ne saurait fonctionner. cette illusion est d’autant plus pathétique que l'état constitue de fait un groupe social à part entière, coupé des réalités des individus et des autres groupes sociaux.
il ne sert qu’à maintenir l’ordre (fonctions législative et répressive) au service des intérets de la classe exploiteuse.
il s'appuie pour cela sur une morale dégradante et humiliante pour l'etre humain, secondé en ce sens par la religion qui légitime elle aussi l'exploitation et la domination.émancipation économique d'abord, par la réappropriation des outils de production, leur gestion directe par les travailleurs eux mêmes, et par la répartition égalitaire des richesses.
- ce sont bien les états qui se partagent et gouvernent la planète.
c'est bien à eux, que l'on doit le désordre économique dans lequel nous vivons.
faire mieux que les états dans les domaines du chaos et de l'horreur est difficile...
qui peut croire encore que le pouvoir est synonyme d'organisation
ceux qui vivent du pouvoir, très certainement.
le chaos institutionnalisé, le pouvoir et l'esclavage ont fait leur temps.
l'organisation est fonction du degré de conscience, discussions, débats, confrontation d'idées, action. plus cette conscience sera grande et plus la vitalité de l'organisation sera élevée. peut-etre faudrait-il aller de la base au sommet, de l'unité au nombre, du particulier au collectif...
le fédéralisme permet à chacun de rester lui-même, de se soustraire à tout écrasement, de garder son autonomie, de prendre une part active à la vie de l'organisation, d'émettre son opinion.
ici, ne sommes nous pas tous et toutes féderé autour d'un même but et pour autant gardons nous pas nos spécificités
émancipation politique ensuite, par le remplacement de la bureaucratie d'état, par une organisation fédéraliste des secteurs de la société,
émancipation intellectuelle, enfin, via la prise en charge par l'individu de son rôle social, reléguant la religion et toute forme de soumission aux chiottes.[/list]
c’est surement à chacun et chacune d’entre nous, d’agir localement.
nos actions finiront par se rencontrer.
et pour finir, les libertés ne se donnent pas, elles se prennent (pas de moi)
tchao
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TeP
Qu'en est il de ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus ?émancipation économique d'abord, par la réappropriation des outils de production, leur gestion directe par les travailleurs eux mêmes, et par la répartition égalitaire des richesses.
Comme aux us un peu?émancipation politique ensuite, par le remplacement de la bureaucratie d'état, par une organisation fédéraliste des secteurs de la société,
Détruire tout outil de propagande et c'est réglé... la communication revient et tout le monde retrouve la réalité.émancipation intellectuelle, enfin, via la prise en charge par l'individu de son rôle social, reléguant la religion et toute forme de soumission aux chiottes
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TeP
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TeP
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sylv1
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