Ici on parle de tout et n'importe quoi mais pas de cannabis, ni d'autres drogues : quiz, politique, actualité, médias, manifestations, etc. tout en restant bon esprit et sans flood inutile !
Pour ma part, c'est l'art de la guerre de Sun Tzu (ouvrage écrit en - 400 av J.C mais qui s'applique toujours de nos jours) et les paradis artificiels de Baudelaire.
Mes deux livres de chevets. Les 2 sont vraiment excellents
Autrement pour la détente j'apprécie beaucoup San Antonio ;-)
Le prochain sur ma liste (qu'on m'a de nombreuses fois vraiment très très recommandé) : la prophétie des Andes
"Live free or Die" New Hampshire devise
La musique, c'est du bruit qui pense
"Rien n'arrete un peuple qui danse"
Hippocrate : guérir parfois, soulager souvent, consoler toujours
Marley : One good thing about music, when it hits you fell no pain
Madrapour est un roman de l'écrivain français Robert Merle, paru en 1976.
Synopsis :À l'aéroport étrangement désert de Roissy-en-France, quinze personnes s'embarquent dans un charter à destination de Madrapour. Touristes cosmopolites, hommes d'affaires ou personnages douteux vont vivre ensemble dans un salon de première classe dont les fauteuils sont disposés en cercle.
L'hôtesse fait une annonce tronquée : c'est assez pour déclencher chez les passagers une inquiétude qui se change en angoisse quand deux Hindous, l'arme au poing, menacent d'exécuter les otages un à un, si l'avion n'atterrit pas. Mais on s'aperçoit que l'avion n'a pas d'équipage et qu'il est dirigé par la Terre. Apparaît alors, dans la destinée des passagers, un personnage invisible et tout puissant : le Sol.
Livre et huis clos assez inclassable. Encore une fois Robert Merle tourne le dos à la science-fiction.
Livre à ne pas conseiller au lecteur qui affecte quelque chose de très linéaire (genre début, intrigue, dénouement, explication...).
C'est une espèce de réflexion métaphysique sur le temps, la mort, la vie et la vie après la mort.
"Douter, ce n'est pas, comme je croyais, s'installer dans l'incertitude; c'est nourrir, l'une après l'autre, deux certitudes contradictoires."
Alors voilà le dernier super trip :
300 pages de bonheur...
" Sur la planète Borthan se perpétue une société étrange. Elle interdit à quiconque de dire "je" Toute manifestation d'individualité y est proscrite comme obscène.
Mais pour Kinnal Darival vient le temps des changements, annoncé d"abord par Schweiz, le marchand venu de la Terre, tentateur et familier d'autres usages.
Et ensuite précipité par la drogue de Sumara grâce à laquelle on peut explorer les profondeurs de son inconscient et connaître son véritable désir.
Kinnal découvre en lui la passion de braver l'interdit, puis la force de renverser à jamais le tabou majeur de son univers. Au prix de la révolution."
Robert Silverberg
[color=#008040]"[size=85][i]Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée,
le dernier poisson pêché, alors vous découvrirez
que l'argent ne se mange pas.[/i] (dicton Cree)[/size]"[/color]
et ça : et aussi ça : ce dernier un peu trop "scientifique" donc je comprend pas tout mais le début du livre est génial, l'auteur connais son sujet et il remet bien à leur place les scientiste et tout les pseudo sceptique qui pollue la science pure !
Je lis jamais un seul livre en même temps et des fois 5/6 en même temps, je m'y retrouve
Je viens aussi de terminer cette merde Je déconseil fortement on apprend rien, mais alors rien du tout, il y a même de la désinformation!! On sent vite que écrivain est copain avec les banquiers ! C'est un livre d'anecdotes sans le moindre intérêt Vaut mieux lire l'article de Matt Taibbi dans Rolling Stone (qui se fait traiter d'antisémite par Marc Roche dans le livre...).
"Dans ce monde de fous qui nie sa folie, il y a un plaisir à être fou que seul un fou connaît." Paagal Baba
Programme de la saison 2011/2012 : Critical Mass, C99 BX1, Bubba KushxOTM, X Dog, Mango Dog, HazexSkunk #1
En cours : C99 BX1, Bubba KushxOTM, X Dog
"De l'irréel conduis-moi au Réel, des ténèbres à la Lumière, de la mort à l'Immortalité." Les Upanishad
La Vie devant soi est un roman d'Émile Ajar (Romain Gary) publié le 14 septembre 1975
Synopsis :C'est à Belleville, au sixième sans ascenseur, chez madame Rosa, une vieille Juive qui a connu Auschwitz, et qui autrefois, il y a bien longtemps, "se défendait" rue Blondel. Elle a ouvert "une pension sans famille pour les gosses qui sont nés de travers", autrement dit un crèche clandestin où les dames qui se prostituent abandonnent plus ou moins leurs rejetons de toutes les couleurs. Momo, dix ans ou alentour, raconte sa vie chez Madame Rosa et son amour pour la seule maman qui lui reste, cette ancienne respectueuse, grosse, virile, laide, sans cheveux, et qu'il aime de tout son cœur - presque autant que son "parapluie Arthur", une poupée qu'il s'est fabriquée avec un vieux parapluie ; il n'a pas de père et chez Madame Rosa, les autres gosses s'appellent Moïse ou Banania.
Un roman très fort, écrit dans un style simple mais sans perte de réflexion. Ça devrait plaire à ceux qui n'aiment pas lire des choses trop alambiquées sans pour autant perdre de nombreuses réflexions existentielles ! Un livre culte
Anecdote : Le prix Goncourt ne peut être décerné qu'une seule fois à un même écrivain. À une exception près : la supercherie de Romain Gary qui l'a reçu en 1956 pour son roman les Racines du ciel, puis en 1975, sous le pseudonyme d'Émile Ajar, pour le roman La Vie devant soi.
alors moi je fini "Ile" d'huxley, une vision d'une société modèle, gérer autour de l'humain et de sa psyché, la vie s'organise autour ( entre autre) de la drogue parfaite d'huxley le moksha , super bouquin
et je viens de voir que gero venait de finir un de silverberg, le mois dernier j'ai relu toutes les chroniques de majipoor : que du bonheur !!
et pendant que j'y pense mon livre, celui que je relis tous les ans ( ça approche) Mendiants et orgueilleux de Cossery si il doit en rester qu'un que se soit celui là
La Vie devant soi est un roman d'Émile Ajar (Romain Gary) publié le 14 septembre 1975
Synopsis :C'est à Belleville, au sixième sans ascenseur, chez madame Rosa, une vieille Juive qui a connu Auschwitz, et qui autrefois, il y a bien longtemps, "se défendait" rue Blondel. Elle a ouvert "une pension sans famille pour les gosses qui sont nés de travers", autrement dit un crèche clandestin où les dames qui se prostituent abandonnent plus ou moins leurs rejetons de toutes les couleurs. Momo, dix ans ou alentour, raconte sa vie chez Madame Rosa et son amour pour la seule maman qui lui reste, cette ancienne respectueuse, grosse, virile, laide, sans cheveux, et qu'il aime de tout son cœur - presque autant que son "parapluie Arthur", une poupée qu'il s'est fabriquée avec un vieux parapluie ; il n'a pas de père et chez Madame Rosa, les autres gosses s'appellent Moïse ou Banania.
Un roman très fort, écrit dans un style simple mais sans perte de réflexion. Ça devrait plaire à ceux qui n'aiment pas lire des choses trop alambiquées sans pour autant perdre de nombreuses réflexions existentielles ! Un livre culte
Anecdote : Le prix Goncourt ne peut être décerné qu'une seule fois à un même écrivain. À une exception près : la supercherie de Romain Gary qui l'a reçu en 1956 pour son roman les Racines du ciel, puis en 1975, sous le pseudonyme d'Émile Ajar, pour le roman La Vie devant soi.
Le film est passé recemment sur arte, j'étais en soirée ... le livre est