Ici on parle de tout et n'importe quoi mais pas de cannabis, ni d'autres drogues : quiz, politique, actualité, médias, manifestations, etc. tout en restant bon esprit et sans flood inutile !
Bonjour, je me présente, Mr CHIANT. Je suis ici pour prendre tout l'espace de votre flux d'actualités Facebook, ainsi que de celui de vos amis. Pourquoi ? Parce que je suis Mr CHIANT, allez-vous vraiment m'obliger à le répéter ? Je suis là POUR FAIRE CHIER ! OK ?!! Avant de continuer ce petit discours contraignant, je vous invite à faire un geste pour la société. Soyez chiants avec vos amis, bah oui, qui aime bien châtie bien ! Comment faire allez-vous dire ! Bande de cons ! Ce texte est la preuve vivante -non, pas vivante, mais vous avez compris l'idée- qu'on peut faire chier tous ses amis en un seul clic. Eh bien oui, cliquez sur la première partie de ce texte et vous vous retrouverez sur une page web où il vous suffira de cliquer sur le bouton Aimer afin de polluer gentiment le mur de vos amis Ou, plus simplement, cliquez sur Aimer tout en bas de ce bloc de texte, pourquoi se casser la tête Bon, maintenant que ceci est chose faite -vous l'avez fait hein ? Ne me forcez pas à m'énever !-, je vais pouvoir reprendre l'histoire de ma petite vie bien tranquille. Je m'appelle donc Mr CHIANT, et tous les jours, je fais chier les gens. Un collègue disait : Moi tous les matins, je casse le vent, j'fais chier les gens, ça me purifie, c'est important. Mais oui ! Il a vu vrai ! C'est ça la Vie ! La Vie avec un grand V ! Oui messieurs, la Vie ! (et mesdames aussi, hein, ça va pas, je suis pas sexiste, non non, je ne le suis pas !). Revenons donc à nos moutons, je parlais de la Vie. Qu'est-ce que la vie ? La vie... trésor inestimable, bien très précieux, sans doute la notion la plus connue de nous tous puisque nous en sommes tous possesseurs et pourtant saurions-nous la définir précisément ? La vie est une notion expérimentale tout à fait claire, toutefois lorsquil sagit den préciser la nature et les propriétés, nous restons sans réponse. sur Je déconne, je vais pas vous faire 3 pages de philosophie sur ce qu'est la Vie (avec un grand V, ne l'oublions pas), parce que bon j'aime bien être chiant envers les autres, mais pas quand ça me fait chier moi. Bah non, l'équité c'est nul. Vous l'aurez donc compris, définir la Vie, ça commençait à me gaver GRAVE. Tiens, gaver et grave, ce sont deux anagrammes ! Charmante découverte que celle-ci ! Baaahh, on s'en fout, ou OSEF comme on dit chez moi ! Kékonsenfoudetékoneri ! C'est vrai, je me suis écarté de mon chemin. De NOTRE chemin ! Car vous avez cliqué sur le bouton Aimer n'est-ce pas ? Vous ne pouvez pas avoir lu jusqu'à ce point (.)(c'était le point dont j'ai parlé)(lol) sans cliquer sur Aimer ! Non non non ! Non non non non non ! Non non non non non non non non non non ! Bah oui, je comble le vide, j'ai plus grand chose à vous dire mes chers frères et soeurs, alors je me rabaisse à raconter des conneries pour prendre un peu plus de place sur votre mur. Mais c'est quand même une jolie preuve d'affection Vous ne trouvez pas ? Allez, admettez-le, vous m'aimez bien Oui, je suis chiant, mais tellement amical, tellement affectueux, je suis comme un gros nounours que vous voudriez emporter partout avec vous : aux toilettes, ...je...je vais trop loin, me dit-on dans l'oreillette.. Bah je ne peux pas tout savoir moi ! Sérieusement, vous m'aimez bien ? Un peu, beaucoup, énormément, à la folie, pas du tout ? Bon, peu importe, je vais conclure cette petite folie Facebookienne Je vous fais de gros poutoux partout, plus un gros gros gros calin A condition que vous ayez cliqué sur le bouton Aimer, bien entendu, petits filous Mouaack !! Cordialement, Mr CHIANT.
Le mot français amour, comme le verbe aimer qui lui est relatif, recouvre une large variété de significations distinctes quoique liées. Ainsi, le français utilise le même verbe pour exprimer ce que d'autres langues expriment par des verbes différents : « j’aime ma petite amie » et « j’aime les sucreries » par exemple (alors qu'en anglais, on dira respectivement « to love » et « to like », et en espagnol « querer » et « gustar »). On constate aussi une telle variété pour le mot amour, par exemple dans la pluralité des mots grecs désignant l’amour. Les différences culturelles dans la conception de l'amour redoublent donc la difficulté d'en donner une définition universelle. Le substantif amour a néanmoins une extension moins large que le verbe aimer : on parlera rarement, par exemple, d'« amour » des sucreries, même si l'on dit les « aimer ». Le sens du verbe aimer, qui peut aussi exprimer l'amitié, ou plus simplement une affection pour quelque chose qui est source de plaisir, est donc plus large que celui du mot amour. Bien que la nature ou l’essence de l'amour soit un sujet de débats, on peut éclaircir plusieurs aspects de cette notion en s'appuyant sur ce que l'amour n'est pas. En tant qu'il exprime un sentiment fort et positif, on l'oppose communément à la haine, voire à l'indifférence, la neutralité ou l'apathie. En tant que sentiment, plus spirituel que physique, on l'oppose souvent au sexe ou au désir sexuel. En tant que relation privilégiée et de nature romantique avec une personne, on le distingue souvent de l'amitié, bien que l'amitié puisse être définie comme une forme d'amour, et que certaines définitions de l'amour s'appliquent à une proche amitié[1]. Roméo et Juliette, couple emblématique de l'amour passionnel (tableau de F. Dicksee, 1884). L'amour désigne un fort attachement affectif à quelqu'un ou à quelque chose. S'il renvoie souvent, dans l'usage courant, aux relations humaines, et plus précisément à ce qu'une personne ressent pour une autre, l'amour peut néanmoins aussi être impersonnel : il est en effet possible de dire qu'une personne éprouve de l'amour pour un pays (par exemple son propre pays : voir patriotisme), pour la nature, ou encore pour un principe ou un idéal, si elle lui accorde une grande valeur et qu'elle s'y sent très attachée. De même, on peut ressentir de l’amour pour un objet matériel, un animal ou une activité, si l'on entretient des liens affectifs forts ou étroits avec ces objets (ou qu'on s'identifie à eux). Lorsque l'amour d'un objet devient exclusif, voire excessif ou pervers, on parle de fétichisme ou d'idolâtrie. L'amour entre les personnes, quant à lui, est un sentiment généralement plus intense qu'un simple sentiment amical ou affectueux. Il peut cependant se présenter sous différentes formes et à des degrés d'intensité divers, de la simple tendresse (quand on dit « aimer » les enfants, par exemple) au désir le plus ardent (chez les amants passionnés par exemple). Ainsi, l'amour entre les membres d'une même famille n'est pas le même qu'entre des amis ou au sein d'un couple d'amoureux. Quand il est ressenti avec une grande intensité et qu'il exerce un fort pouvoir érotique (ou une attirance sexuelle), on parle d'amour « passionnel » ou de « passion amoureuse », utilisant souvent l'image de la flamme ou de la brûlure pour décrire l'effet qu'il exerce sur les sens et l'esprit. Quand cette passion provoque une identification si étroite avec une personne qu'elle tend à unifier les deux amants, on parle d'amour « fusionnel ». L'apparition plus ou moins subite de l'amour passionnel est décrite dans la langue courante comme un désaisissement (« tomber amoureux », « coup de foudre »), provoquant chez celui qui l'éprouve des comportements destinés à séduire l'être aimé et visant à obtenir la réciprocité de cet amour, qui s'exprimera le cas échéant par des actions et des gestes amoureux – parmi lesquels les caresses, les baisers et les rapports sexuels, ces derniers étant désignés dans plusieurs langues par l'expression : « faire l'amour ». Ces pratiques et ces gestes sont en partie culturels et peuvent faire l'objet – tout comme l'étude des interdits liés à l'amour – d'une approche anthropologique ou sociologique. Outre les différences culturelles dans les pratiques liées à l'amour, les idées et les représentations sur l'amour ont également beaucoup changé selon les époques. L'amour platonique, l'amour courtois et l'amour romantique sont ainsi des conceptions distinctes et apparues à des époques précises de l'Histoire. Il existe aussi un certain nombre de désordres psychiques liés à l'amour, et étudiés par la psychologie, comme l'érotomanie ou le narcissisme. Certaines formes d'amour sont par ailleurs perçues comme des perversions ou des déviances (voir paraphilie), telles que la pédophilie (attirance sexuelle pour les enfants) et la zoophilie (attirance sexuelle pour les animaux). De telles amours peuvent être étudiées aussi bien par la psychologie que par les sciences humaines et sociales. A cause de la nature complexe et difficile à saisir de l'amour, les discours sur l'amour se réduisent souvent à des clichés, que l'on retrouve dans un certain nombre de dictons sur l'amour, depuis la phrase du poète Virgile : « L'amour triomphe de tout (omnia vincit amor) » , jusqu'au célèbre : « L'amour rend aveugle ». Le philosophe Leibniz en donnait cette définition : « Aimer, c'est se réjouir du bonheur d'autrui »[2]. Dans l'histoire, la philosophie et la religion (ainsi que la théologie qui lui est liée) ont beaucoup médité sur le phénomène amoureux, source constante d'inspiration pour les arts plastiques, littéraires et musicaux. La psychologie, au siècle dernier, a renouvelé les réflexions sur le sujet. Ces dernières années, des sciences telles que la biologie, la neurologie et la neurobiologie, mais aussi la zoologie et l'anthropologie, ont amélioré notre compréhension de la nature et de la fonction de l'amour.
"La question anarchiste devrait être : pourquoi se soucier d'affronter un pouvoir qui a perdu toute signification et qui n'est plus que pure simulation ?"
"Ce qui me fascine, c'est de voir qu'on ose encore présenter le travail comme une solution à la misère, malgré le fait qu'un SDF sur trois travaille, justement. C'est ça aussi, le miracle de la flexibilité. T'es flexible, mais tu peux pas louer d'appartement parce que le bailleur, il est pas tellement fan de ton CDD flexible, de tes périodes de chômage flexibles, de ton compte en banque flexible.
La pénurie de travail, comme si c'était ça le problème, comme si c'était pas l'argent, le problème. "
"Pris dans un sens absolu, le mot de « progrès » n’a point de signification, puisque le monde est infini et que, dans l’immensité sans borne, on reste toujours également éloigné du commencement et de la fin.
"La question anarchiste devrait être : pourquoi se soucier d'affronter un pouvoir qui a perdu toute signification et qui n'est plus que pure simulation ?"
"Ce qui me fascine, c'est de voir qu'on ose encore présenter le travail comme une solution à la misère, malgré le fait qu'un SDF sur trois travaille, justement. C'est ça aussi, le miracle de la flexibilité. T'es flexible, mais tu peux pas louer d'appartement parce que le bailleur, il est pas tellement fan de ton CDD flexible, de tes périodes de chômage flexibles, de ton compte en banque flexible.
La pénurie de travail, comme si c'était ça le problème, comme si c'était pas l'argent, le problème. "
"Pris dans un sens absolu, le mot de « progrès » n’a point de signification, puisque le monde est infini et que, dans l’immensité sans borne, on reste toujours également éloigné du commencement et de la fin.
"La question anarchiste devrait être : pourquoi se soucier d'affronter un pouvoir qui a perdu toute signification et qui n'est plus que pure simulation ?"
"Ce qui me fascine, c'est de voir qu'on ose encore présenter le travail comme une solution à la misère, malgré le fait qu'un SDF sur trois travaille, justement. C'est ça aussi, le miracle de la flexibilité. T'es flexible, mais tu peux pas louer d'appartement parce que le bailleur, il est pas tellement fan de ton CDD flexible, de tes périodes de chômage flexibles, de ton compte en banque flexible.
La pénurie de travail, comme si c'était ça le problème, comme si c'était pas l'argent, le problème. "