
Et j'ai bien aimé, c'est un documentaire sur la dernière campagne électorale de Georges Frêche.
J'ai osé regarder ce documentaire, en voyant son visage, je me suis dit il ne doit pas avoir la langue dans sa poche. Et je voulais aussi comparer avec un documentaire de campagne électorale, que j'avais vu sur Bernard Landry, qui est un politicien Québécois.
J'ai vu ce documentaire, il y a deux ans environ.
Premièrement Bernard Landry est beaucoup plus "politically correct" que Georges Frêche.
Et Bernard Landry faisait beaucoup plus attention à ce qu'il disait (Il a quitté la politique), et jamais Bernard Landry n'aurait érigé une statue en L'honneur de Mao où Lénine, comme la fait Georges Frêche. J'avoue que si on aurait vu ce documentaire avec un politicien d'ici, que cela aurait été la fin de sa carrière. Parce qu'ici la moindre incartade, peut être un très bon carburant pour les indépendantistes, fédéralistes, les journalistes et caricaturiste pour les siècles et des siècles.
Mais attention je ne conspue pas Georges Frêche, parce que si vous écoutez le documentaire sur lui il se justifie assez bien et comme je n'ai pas tous les verbatims de sur ce qu'il a dit, je ne peux en dire plus. Tout ça pour dire que j'ai aimé, parce que je suis de gauche et que j'aime bien la façon de discuter de plusieurs Français, dont ce film qui ma bien fait voyager dans mes souvenirs du temps que j'étais en France.
Ça c'est un bon film.
Le confort et l'indifférence (1981)
Réalisateur: Denys Arcand
Résumé: (Documentaire). Couvrant les événements de 1980, le cinéaste sort la défaite référendaire du Parti québécois de son contexte local et la confronte au jugement de l'Histoire, en la soumettant au feu d'une critique acerbe sous la forme de citations extraites de l'oeuvre historique de Nicolas Machiavel (magnifiquement interprété par Jean-Pierre Ronfard).