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Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 25 mars 2011, 20:05
par zinsto
Salut,

Je cherche des liens mega, pour regarder des films, en vains, je comprends pas grand chose au plateforme, tout ça, juste que ça coupe pas au bout de 73 minutes sans forcement reboot et tout, comme le liens sur le film de Mr Nice, voila, désolé du Hs.

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 25 mars 2011, 20:06
par apunkfromhell
mp si besoin ;)

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 26 mars 2011, 23:10
par armystice
Scott Pilgrim, bien sympathique ! :ange:

Visuellement intéressant, bonne ost, le tout bien générationnel :topcool:

La vf doit tout casser par contre, comme d'hab' :lol:
apunkfromhell a écrit :mp si besoin ;)
:wink:

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 03 avr. 2011, 13:39
par ennio
Vu hier soir en Vostfr... très bon film,pas mal d'émotion, et avec une interprétation... au-desssus :wink:

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Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 03 avr. 2011, 15:35
par kipilo
Sucker Punch :

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J'ai adoré ce film, la BO est magiques, les graphismes sont fous. Jolies filles, samourais, dragons, guns et explosions.

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 05 avr. 2011, 13:34
par minkmink92
Flagosse a écrit :127 heures

La morale de cette histoire est de dire à maman où on est.

À part ça pénible ce que le gars a vécu.
Perso j'ai vraiment aimé... De toute façon, j'adore Danny Boyle... le gars en a une sacrée paire quand meme, la plupart des gens se seraient laissé mourrir :shock:

Sinon vu récemment,
-Black Swan (bien mais réalisation Aronofsky sans surprise AMHA)
-The Experiment (mouais...)
-Potiche (Deneuve bien mais Luchini décevant selon moi, un style un peu trop théatralisé dans l'ensemble...)

- Et aussi d'autres merdes américaines sans grand intérêt (The Mechanic avec J.Statham, Skyline,...)

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 05 avr. 2011, 13:57
par CriminalDrug
kipilo a écrit :Sucker Punch :

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J'ai adoré ce film, la BO est magiques, les graphismes sont fous. Jolies filles, samourais, dragons, guns et explosions.

Gros +1, mais ce n'est un film à conseiller à tout le monde ;)
A la sortie de la salle, la moitié était dégoutée, avait trouvé ça nase.
Mais j'ai vraiment adoré :)
Et encore gros +1 pour la BO :)

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 05 avr. 2011, 17:00
par kipilo
Suckerpunch : un film qu'il est bien pour les geeks surtout :)

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 05 avr. 2011, 17:13
par sumerien
Bon je sais pas si ca a sa place ici, je pense que oui, si ca gène je vire :lol:


De l’Amérique à l’Humanité : le passage du réel à la fiction comme clef scénaristique hollywoodienne

D’un point de vue scénaristique, il est intéressant de constater qu’une partie importante des films hollywoodiens qui s’exportent le plus facilement (au moins dans le reste de l’Occident) contient des références innombrables aux thèmes constitutifs du roman national des Etats-Unis.

La résonance que ces thèmes (classiques ou modernes) produisent dans les esprits non-étatsuniens s’explique autant par la volonté d’Hollywood de vendre au maximum ses produits que par la forte prédisposition de certaines populations à les recevoir positivement.

Le ressort scénaristique principal de cette tendance des thèmes proprement étatsuniens à résonner dans les esprits non-étatsuniens réside sans doute dans le passage subreptice du réel à la fiction, dont nous avons déjà parlé dans plusieurs articles. Notamment, l’extension des thèmes constitutifs du "roman américain" se produit souvent grâce à leur transposition, dans la fiction, à l’humanité entière. Quels sont ces thèmes ? La liste non exhaustive ci-dessous en présente les principaux, illustrés d’exemples de films dans lesquels ils sont développés.



Nouveau Monde, Terre promise et peuple élu :

2012 (Roland Emmerich, 2009) : à la fin du film, le continent africain représente la terre d’asile et d’espoir de l’humanité entière. Seuls quelques élus embarqués sur des bateaux ont survécu à l’apocalypse. La découverte, l’exploration et la domestication d’un Nouveau Monde, thème étatsunien par excellence dans le monde réel, devient dans la fiction celui de l’humanité entière. (L’une des dernières images du film, photo ci dessus)

Avatar (James Cameron, 2009) reprend également le thème du Nouveau Monde, mais cette fois d’un point de vue qui se veut indigène, soulignant les conflits d’intérêts causés par la colonisation. On peut voir une forte correspondance entre les Na’vis fictifs et les Indiens d’Amérique réels, mais aussi une transposition plus moderne du même thème à travers l’exploitation brutale des ressources du sol à l’aide de la conquête militaire et au détriment des peuples locaux.


Libération du joug étranger comme mythe fondateur (réunificateur) de la nation

Independence Day (Roland Emmerich, 1996) : la Révolution américaine, au cours de laquelle le "peuple" des colonies anglaises du Nouveau Monde se serait soulevé contre l’Angleterre*, est prise implicitement comme référence et transposée maladroitement à l’humanité entière dans sa résistance à l’impérialisme extraterrestre. La correspondance est loin d’être parfaite, puisque dans le film, l’envahisseur n’occupe pas les lieux. Mais elle est néanmoins utilisée directement pour élargir la portée du film, au moins dans le titre et dans le monologue fameux du président.


Les Etats-Unis : une puissance bienveillante

Dans Star Trek (J. J. Abrams, 2009), l’entité militaire appelée Starfleet constitue une puissance pacificatrice et bienveillante. C’est une organisation internationale. Au sein même de l’Enterprise, l’équipage représente à lui tout seul un panel d’origines nationales différentes. Bien entendu, Kirk, intrépide et courageux, au physique si typiquement étatsunien, en deviendra le capitaine. Il est possible de voir là une transposition dans la fiction de la position réelle des Etats-Unis dans les organisations mondiales réelles à vocation prétendument pacificatrice et humanitaire.


Les Etats-Unis : une puissance hégémonique

Dans Armageddon (Michael Bay, 1997), l’hégémonie des Etats-Unis sur le reste du monde est symbolisée par sa suprématie scientifique et technique. Cette double compétence l’autorise à devenir leader de l’exploration spatiale et, corrélativement, à organiser la protection du monde face aux menaces venues de l’espace. Dans le film, les deux entités centrales sont la NASA et un groupe d’ouvriers/ingénieurs en extraction pétrolière. La maîtrise de l’espace y est présentée comme une condition de sécurité de l’humanité entière, pas seulement des Etats-Unis. C’est une prolongation du thème précédent : le leadership des Etats-Unis est bienveillant, il protège l’humanité du chaos (il n’est pas interdit de voir dans l’astéroïde un symbole de la destruction aveugle en général, à laquelle certains essaient de raccrocher le terrorisme, et ce depuis bien avant le 11 septembre 2001).


Lutte contre le terrorisme

S’il constituait déjà un thème notable avant 2001 (voir par exemple Arlington Road, Mark Pellington, 1998), le terrorisme occupe désormais une place importante dans beaucoup de productions hollywoodiennes.

Cloverfield (Matt Reeves, 2008) nous explique que le terrorisme est inhumain, monstrueux, et qu’il peut frapper n’importe quelle partie de la population mondiale, y compris ceux qui se sentent les plus protégés (et, parmi eux, même les plus nantis).

Die Hard 4 (Len Wiseman, 2006) suggère que le terrorisme peut aussi venir de l’intérieur des pays occidentaux, d’où la nécessité de perfectionner notamment le système de défense contre la cyber-criminalité.

The Dark Knight (Christopher Nolan, 2008) s’interroge : comment combattre ce nouvel ennemi, imprévisible, monstrueux, complètement cinglé, semant le chaos pour le plaisir ? La loi est-elle suffisante, ou faut-il se reposer aussi sur la force clandestine (hors-la-loi), bien plus efficace ? Moraliser le capitalisme

Inside Man (Spike Lee, 2005) nous invite à moraliser la banque. Bien entendu, il ne s’agit pas de pointer la domination mondiale du pouvoir bancaire et l’exploitation des peuples qui en résulte. Le film se contente de raconter comment un banquier new-yorkais s’en est mis plein les poches en collaborant avec le régime nazi. Ou comment brosser un thème porteur tout en retournant soigneusement le propos pour ne froisser personne, et ainsi gagner sur tous les tableaux.

The Social Network (David Fincher, 2010) s’interroge : le capitalisme moderne est-il moral ? Comme dans Inside Man, on individualise radicalement le propos en mettant en scène un super-capitaliste ayant franchi toutes les bornes de la morale. Ou comment suggérer la responsabilité des individus pour mieux éviter de dire que c’est tout le système économique qui porte en lui l’immoralité.


Une hégémonie sur le déclin

Le thème du déclin de l’hégémonie des Etats-Unis est relativement nouveau, car il correspond à une situation récente. Il y a fort à parier qu’Hollywood s’en emparera et le placera au centre de certaines de ses prochaines superproductions. Bien entendu, la finalité ne sera pas de tenir un propos politique, mais simplement de plaire au plus grand nombre, ce qui est la condition pour continuer de vendre ses produits.

La bande-annonce de Transformers 3 (Michael Bay, 2011) semble indiquer que le film mettra en scène une humanité confrontée à la révélation suprême : "We’re not alone after all, are we ?" ("Nous ne sommes plus seuls, c’est ça ?"). La rencontre d’une espèce extra-terrestre sur la Lune (où, dans l’imaginaire, les Etatsuniens représentaient l’humanité entière) servira peut-être à évoquer la prise de conscience réelle par les élites étatsuniennes que certaines forces extérieures ont envie d’en découdre et souhaitent de tout coeur la fin de leur domination sur le monde.


On voit donc qu’un certain nombre de thèmes constitutifs de ce que l’on peut appeler le "roman national américain" (un ensemble des mythes plus ou moins basés sur des événements réels, qui construisent une perception cohérente de l’histoire des Etats-Unis et des valeurs à l’oeuvre dans cette histoire) sont développés dans des scénarios hollywoodiens très largement diffusés à travers le monde. L’industrie étatsunienne du spectacle joue un rôle prédominant dans le maintien et l’actualisation permanente de cet imaginaire national, ainsi que dans son exportation mondiale.

Mais la popularité mondiale de ce type particulier de cinéma ne s’explique pas uniquement par la volonté d’une industrie du spectacle de diffuser au maximum ses produits. Il faut également prendre en compte le fait que ces produits pénètrent d’autant plus les marchés nationaux que les cultures nationales en question ont déjà été largement pénétrées par la culture des Etats-Unis depuis des décennies. En 2011, il est sans doute plus facile pour un film hollywoodien de trouver un public français qu’il ne l’aurait été pour le même film en 1965 (toutes choses égales par ailleurs).

* En réalité, il semble (et il paraît très logique) que la Révolution dite "américaine" a plus constitué la victoire d’une certaine élite oligarchique des colonies sur une certaine élite anglaise que celle du peuple des Etats-Unis sur l’oppresseur étranger. Au sortir de la "révolution", le peuple ne s’est pas libéré de l’oppression ; il a simplement changé d’oppresseur. Voir notamment Howard Zinn, Une Histoire populaire des Etats-Unis, chapitre V.

source: http://analyse-scenarios.over-blog.com/ ... 15164.html

Bon sinon on a revu ¨Amours Chiennes¨ vraiment bien ce film :topcool:

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 06 avr. 2011, 07:11
par Flagosse
Je viens de visionner Fair Game et le titre en français et Enjeux, qui est sorti le 29 mars 2011.

J'ai trouvé ça bon, ça met encore plus de crédibilité qui renforce. Le mensonge qui était d'aller en guerre en Irak, à propos des armes de destruction massive, qui était complètement fausse.

Au début je croyais que c'était une histoire de couple fictive, je parle des deux personnages principal, dont le mari jouer par Sean Penn et son épouse du film Naomi Watts. Mais non il a bien eu... Désolé si je vous le dis, je vous donne le dénouement et vous allez m'en vouloir. Mais au moins je peux vous dire, qu'il n'y a pas eu d'armes de destruction massive et ça tout le monde le sait j'espère.

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Voici le BOZO qui dirigeait :D
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Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 07 avr. 2011, 13:41
par Vega
Pour ceux qui aiment bien primus et les docus musicaux délirants : "electric apricot" :
Des gros cons de musiciens enregistrent leur premier album , puis enchaînent sur une participation a un festival :ange:

On ne peut s’empêcher de penser a "this spinal tap" , mais aussi a "some kind of monster" de metallicaca (certains passages font directement référence au docu des 4horsemens :mrgreen: ; notament le passage avec le psy ...) :taper:

délirant ! :lol:

Et puis ça va vous plaire , le film est carrément sponsorisé par GHE (il y a un petit passage sur la culture hydro de poivrons du gratteux) :lol:

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 09 avr. 2011, 02:33
par Flagosse
"Pierre Falardeau"

À travers des images d'archives et les témoignages de certains de ses proches, les cinéastes Germán Gutierrez et Carmen Garcia font le portrait du cinéaste et polémiste Pierre Falardeau, décédé le 25 septembre 2009. Célèbre pour sa lutte en faveur de l'indépendance du Québec et pour ses oeuvres Elvis Gratton très drôle :D , Le party et 15 février 1839, entre autres, le réalisateur s'est inscrit comme un défenseur de la liberté d'expression et a connu sa part de controverses Ses nombreuses prises de position en auront fait une personnalité publique aussi appréciée que décriée.

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J'ai hâte de voir Godin le poète, le politicien et le cycliste

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 09 avr. 2011, 22:25
par armystice
Sidney Lumet (1924-2011) :ange:

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Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 10 avr. 2011, 13:40
par ennio
:(

12 hommes en colère
Un après-midi de chien
Serpico
...

que du bon


86 balais c'est pas si mal

Re: Le CINÉMA des FCF

Posté : 12 avr. 2011, 00:44
par link²
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:mrgreen:
ça m'a r'apeller m'a periode jeudi de l'angoisse ,avec les bon vieux chucky , et pis le chien tueur ....