Re: Le monde selon Monsanto
Posté : 18 nov. 2011, 09:09


Une sorte d'arbre à came


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Frelon asiatique, pesticides, abeilles mortes : Bruno Le Maire attaqué
En pleine crise du frelon asiatique, le ministre de l'Agriculture est venu à la matinale de France Inter mercredi pour rassurer les apiculteurs (et aussi faire la promo de son nouveau livre). Las, il les a surtout mis en colère.
Bruno Le Maire avait pourtant bien choisi ses mots :
« Les apiculteurs ne sont certainement pas abandonnés. La préservation des populations d'abeilles en France fait partie des sujets importants. »
L'interview du gars à france inter...Olivier Belval, président de l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf) a l'impression que le ministre « ne sait plus comment faire pour se sortir de ce pétrin », où l'a mis le Conseil d'Etat en début d'année en annulant l'autorisation de mise sur le marché du Cruiser, cet insecticide de Syngenta qui « fout la trouille » aux apiculteurs.
Des biberons jetables stérilisés avec un gaz toxique
Selon une enquête menée par le Nouvel Observateur, plusieurs millions de biberons et tétines jetables seraient aujourd'hui toujours stérilisés avec de l'oxyde d'éthylène, un gaz hautement toxique et considéré comme cancérigène depuis 1994.
C'est une information pour le moins préoccupante qu'a divulguée le Nouvel Observateur dans son dernier numéro qui parait aujourd'hui. D'après une enquête qu'il a lui-même mené, le magazine révèle que depuis des décennies, "des millions de tétines mises à disposition des mamans et de leurs nouveaux-nés dans les hôpitaux français ont été stérilisées en infraction avec la réglementation en vigueur". Plus concrètement, ces biberons et tétines jetables seraient en fait stérilisés avec un gaz hautement toxique appelé oxyde d'éthylène.
Or, depuis 1994, le Centre international de Recherche sur le Cancer a classé ce gaz comme cancérogène avéré. Une découverte qui a poussé les autorités françaises comme européennes à exclure ce composé des procédés de stérilisation tant qu'il s’agit de "matériaux au contact des denrées alimentaires" (MCDA), des matériaux dont font partie les biberons et tétines. Pour s'assurer que le gaz était bien exclu des protocoles, le Nouvel Observateur a donc décidé de mener l'enquête au sein de la centrale d'achats de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui fournit des dizaines d’hôpitaux en France, dont les maternités de Robert-Debré, Necker-Enfants malades et la Pitié-Salpêtrière.
4 millions de tétines vendues et stérilisées à l'oxyde d'éthylène
Et les résultats se sont avérés probants : les deux fournisseurs de l'AP-HP, le groupe belge Bledico et le groupe français Cair, utilisent tous les deux une méthode "exclusive" de stérilisation justement basée sur l'usage d'oxyde d'éthylène. Une utilisation clairement énoncée dans les documents que s'est procuré le magazine. Or, s'il est impossible de chiffrer le nombre de nourrissons, ni le nombre d'établissements concernés, le Nouvel Observateur note que "sur les 800.000 enfants qui naissent quasiment tous (98%) dans les maternités, 400.000 ne sont pas nourris au sein mais exclusivement aux biberons fournis par l’hôpital". Plus inquiétant encore : interrogé par les journalistes, Philippe Jacquin, directeur du développement du groupe français Cair a donné un ordre de grandeur édifiant : "Pour l’année 2010, nous avons vendu en France 4 millions de tétines et 300.000 téterelles."
"Comment peut-on prendre le risque de mettre dans la bouche des bébés une tétine qui recèle des résidus de substances mutagènes ultra agressives ! C’est en 1994 que le Centre International contre le Cancer de Lyon (OMS) a classé cette molécule dans le groupe 1 des agents cancérogènes chez l’homme. L’interdiction est donc formelle et je ne comprends pas que les autorités sanitaires ne parviennent pas à la faire respecter. Que l’on ait proscrit l’utilisation des biberons contenant du bisphénol A, c’est excellent. Mais il faut savoir que l’oxyde d’éthylène est sans doute une molécule un million de fois plus active que ne l’est le Bisphénol en tant que perturbateur endocrinien !", explique au Nouvel Observateur André Picot, toxicochimiste qui a été le premier Directeur de Recherche de l’Unité de Prévention du Risque Chimique au CNRS.
Un risque de mutation génétique
Il poursuit également : "L’oxyde d’éthylène est par définition un cancérogène actif dès les premières molécules [...] il s’attaque aux plus grosses molécules : les protéines des globules rouges, mais aussi les globules blancs en prenant l’ADN pour cible à l’intérieur du noyau. L’oxyde d’éthylène est alors en mesure de modifier le message ADN et de provoquer une mutation génétique. Le risque extrême, c’est que le dérèglement du message génétique conduise à une prolifération des globules blancs ainsi déréglés et provoquent éventuellement une leucémie".
Au cours de l'enquête, les industriels du secteur ont refusé de s'expliquer sur ce sujet auprès des journalistes. Tandis qu'André Picot souligne qu'il n'y a aujourd'hui plus aucun doute sur la nocivité de l'oxyde d'éthylène, le Nouvel Observateur incite donc les autorités sanitaires à se pencher sur la question afin de rassurer les parents qui "sont tout de même bien en droit de savoir si le caoutchouc qu’ils leur glissent entre les lèvres cinq à huit fois par jour est oui ou non conforme à la réglementation".
http://www.maxisciences.com/biberon/des ... 18696.html
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/ ... sques.html
Ce serait pas celui la : Notre poison quotidien ?geronimo a écrit :je ne sais pas si vous avez regarder le reportage sur Arte qui démontre que l'industrie chimique/pharmaco/pétrolière crées les maladie (le poison) et l'antidote (le médicament)
et la Gelbique continue à les utiliser après "enquête" ......... à savoir quand même que ce sont des biberons à usage unique , utilisés dans les unités néonatales pour les prématurés (en gelbique du moins)sumerien a écrit :![]()
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Et ca si ca fait pas rever:
Des biberons jetables stérilisés avec un gaz toxique
Selon une enquête menée par le Nouvel Observateur, plusieurs millions de biberons et tétines jetables seraient aujourd'hui toujours stérilisés avec de l'oxyde d'éthylène, un gaz hautement toxique et considéré comme cancérigène depuis 1994.
C'est une information pour le moins préoccupante qu'a divulguée le Nouvel Observateur dans son dernier numéro qui parait aujourd'hui. D'après une enquête qu'il a lui-même mené, le magazine révèle que depuis des décennies, "des millions de tétines mises à disposition des mamans et de leurs nouveaux-nés dans les hôpitaux français ont été stérilisées en infraction avec la réglementation en vigueur". Plus concrètement, ces biberons et tétines jetables seraient en fait stérilisés avec un gaz hautement toxique appelé oxyde d'éthylène.
Or, depuis 1994, le Centre international de Recherche sur le Cancer a classé ce gaz comme cancérogène avéré. Une découverte qui a poussé les autorités françaises comme européennes à exclure ce composé des procédés de stérilisation tant qu'il s’agit de "matériaux au contact des denrées alimentaires" (MCDA), des matériaux dont font partie les biberons et tétines. Pour s'assurer que le gaz était bien exclu des protocoles, le Nouvel Observateur a donc décidé de mener l'enquête au sein de la centrale d'achats de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui fournit des dizaines d’hôpitaux en France, dont les maternités de Robert-Debré, Necker-Enfants malades et la Pitié-Salpêtrière.
4 millions de tétines vendues et stérilisées à l'oxyde d'éthylène
Et les résultats se sont avérés probants : les deux fournisseurs de l'AP-HP, le groupe belge Bledico et le groupe français Cair, utilisent tous les deux une méthode "exclusive" de stérilisation justement basée sur l'usage d'oxyde d'éthylène. Une utilisation clairement énoncée dans les documents que s'est procuré le magazine. Or, s'il est impossible de chiffrer le nombre de nourrissons, ni le nombre d'établissements concernés, le Nouvel Observateur note que "sur les 800.000 enfants qui naissent quasiment tous (98%) dans les maternités, 400.000 ne sont pas nourris au sein mais exclusivement aux biberons fournis par l’hôpital". Plus inquiétant encore : interrogé par les journalistes, Philippe Jacquin, directeur du développement du groupe français Cair a donné un ordre de grandeur édifiant : "Pour l’année 2010, nous avons vendu en France 4 millions de tétines et 300.000 téterelles."
"Comment peut-on prendre le risque de mettre dans la bouche des bébés une tétine qui recèle des résidus de substances mutagènes ultra agressives ! C’est en 1994 que le Centre International contre le Cancer de Lyon (OMS) a classé cette molécule dans le groupe 1 des agents cancérogènes chez l’homme. L’interdiction est donc formelle et je ne comprends pas que les autorités sanitaires ne parviennent pas à la faire respecter. Que l’on ait proscrit l’utilisation des biberons contenant du bisphénol A, c’est excellent. Mais il faut savoir que l’oxyde d’éthylène est sans doute une molécule un million de fois plus active que ne l’est le Bisphénol en tant que perturbateur endocrinien !", explique au Nouvel Observateur André Picot, toxicochimiste qui a été le premier Directeur de Recherche de l’Unité de Prévention du Risque Chimique au CNRS.
Un risque de mutation génétique
Il poursuit également : "L’oxyde d’éthylène est par définition un cancérogène actif dès les premières molécules [...] il s’attaque aux plus grosses molécules : les protéines des globules rouges, mais aussi les globules blancs en prenant l’ADN pour cible à l’intérieur du noyau. L’oxyde d’éthylène est alors en mesure de modifier le message ADN et de provoquer une mutation génétique. Le risque extrême, c’est que le dérèglement du message génétique conduise à une prolifération des globules blancs ainsi déréglés et provoquent éventuellement une leucémie".
Au cours de l'enquête, les industriels du secteur ont refusé de s'expliquer sur ce sujet auprès des journalistes. Tandis qu'André Picot souligne qu'il n'y a aujourd'hui plus aucun doute sur la nocivité de l'oxyde d'éthylène, le Nouvel Observateur incite donc les autorités sanitaires à se pencher sur la question afin de rassurer les parents qui "sont tout de même bien en droit de savoir si le caoutchouc qu’ils leur glissent entre les lèvres cinq à huit fois par jour est oui ou non conforme à la réglementation".
http://www.maxisciences.com/biberon/des ... 18696.html
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/ ... sques.html![]()
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PS: savait pas trop ou le poster...
Je sais pas si celui dont il parlait... Mais m'en va le zieuter, après recherche, m'a l'air fort intéressant.Ignatus-J.Reilly a écrit :c'est pas le secret des 7 grandes soeurs dont tu parles gero?
surtout axé* sur le petrole...