Re: cannabis social club français
Posté : 09 mars 2013, 07:55
put1 j'ai que du zaptar à y foutre dans mon ballon en ce moment
ils vont etre dessus
ils vont etre dessus
Bienvenue sur les FCF (Les Forums Cannabiques Francophones et pas le Free Cash Flow)
https://fcf.cannaweb.info/fcf/
Tu dois être très malade alorsThe Happy Sower a écrit :pour marquer le fait que j'suis bien défoncé là
ICIUne quinzaine de Cannabis social clubs se sont déclarés en préfecture
http://www.liberation.fr/societe/2013/0 ... dre_891607Avec les Cannabis social club, le «peuple de l’herbe» veut se faire entendre
Par AFP
Avec les Cannabis social club (CSC), dont les statuts ont été déposés lundi dans plusieurs préfectures, des militants défenseurs du cannabis bravent l’interdit pour promouvoir la dépénalisation et l’autoproduction et mettre ainsi un terme aux trafics et à la mise en circulation de produits «frelatés».
Dominique Broc, le responsable de la «Fédération des Cannabis social club» qui doit les rassembler est formel: depuis lundi, 15 à 20 clubs ont été officiellement créés, notamment en Loire-Atlantique, Vendée, Creuse, Charente-Maritime, Indre-et-Loire et Haute-Vienne, emboîtant ainsi le pas à la fédération, créée le 4 mars en Indre-et-Loire.
D’autres devraient suivre dans les prochains jours, selon M. Broc.
Ces groupements, déclarés comme des associations à but non lucratif (loi 1901) afin de faire reconnaître légalement leur activité, restent illégaux en France, même si des groupement existent de fait depuis 2009.
Ces structures sont en revanche légales en Belgique et en Espagne où elles peuvent compter jusqu’à 4.000 membres.
En France, «on a décidé que le maximum c’était 20 personnes car il faut que ce soit 20 amis de confiance», souligne M. Broc. Issus de tous les milieux sociaux, les membres partagent les frais d’électricité, l’achat de graines, de terreau et d’engrais, et consomment à titre récréatif ou thérapeutique ce qu’ils produisent.
Ils prônent la dépénalisation du cannabis et l’autoproduction. Le commerce est totalement exclu, l’objectif étant d’éviter le marché noir, ses coûts exorbitants et la qualité douteuse des produits, notamment la résine de cannabis ou «shit», qu’ils jugent souvent «frelatée».
Justice et préfet peuvent demander à tout moment la dissolution d’un CSC, ce qui sera fait selon le ministère de l’Intérieur. «S’il y a des dissolutions au fur et à mesure (...), on va faire ça dans la durée et occuper les tribunaux pendant un long moment», prévient de son côté M. Broc.
Une démarche «responsable», assurent les promoteurs
Retraité de 62 ans, Francis a déposé à la préfecture de Guéret les statuts de son Cannabis social club creusois, qui compte 14 membres. Le sexagénaire, qui a goûté son premier joint à 18 ans, fume depuis une vingtaine d’années trois pétards quotidiens. Il a en revanche arrêté de cultiver en janvier : pour la première fois de sa vie, cet ancien salarié de l’audiovisuel a en effet été condamné à 250 euros d’amende après la découverte par les gendarmes de sa plantation.
Pourtant, à ses yeux, les CSC permettaient «d’avoir une idée claire de la consommation française», «de court-circuiter les réseaux mafieux et de favoriser des échanges locaux», le tout «sans enjeu économique».
L., 30 ans, a déposé les statuts de son club à Limoges. Il ne compte, pour l’instant, que deux adhérents. «Nous sommes dans une démarche responsable», insiste-t-il. En dépit de la «politique de prohibition», «trafiquants et produits frelatés courent toujours», soutient ce père de deux enfants, condamné à deux reprises -- amende et prison avec sursis -- pour des affaires de stupéfiants.
Et le trentenaire, qui a commencé à fumer, occasionnellement, «vers 14, 15 ans», puis régulièrement à 18 ans, de s’interroger : «Pourquoi autoriser l’alcool et le tabac avec tous les cancers qu’ils provoquent ?»
Consommateurs s’inscrivant dans la mouvance des usagers prônant une consommation «éclairée», Antoine, 40 ans, et Sébastien, 34 ans (les prénoms ont été modifiés, ndlr), jugent pour leur part la législation française sur la question «hypocrite» et «obsolète». Fonctionnaire de l’Education nationale, Sébastien estime ainsi que, si «l’abus est toujours nocif», une «consommation éclairée et encadrée sera toujours moins dangereuse».
Dominique Broc a lui aussi connu quelques démêlés avec les autorités : interpellé et placé en garde à vue fin février pour détention illégale de cannabis, après avoir annoncé dans la presse qu’il cultivait des plants à son domicile, il est convoqué au tribunal correctionnel de Tours le 8 avril.
Pourtant, à ses yeux, ces déclarations en préfecture ne sont qu’une première étape et marquent «le début de la reconnaissance pour +le peuple de l’herbe+».
je comprend pas la questionUn lien avec l'état d'un proche plus qu'avec le canna ?
Et aux alcooliques (j'ai hésité avec "flics")Jester01 a écrit :et le droit au plaisir je ne vois pas pourquoi il ne serait finalement accordé qu'au malades