Ici on parle de tout et n'importe quoi mais pas de cannabis, ni d'autres drogues : quiz, politique, actualité, médias, manifestations, etc. tout en restant bon esprit et sans flood inutile !
En essayant continuellement on finit par réussir. Donc : Plus ça rate, plus on a de chance que ça marche.
Ni oubli, ni pardon
Allons à l'Elysée, bruler les vieux les vieilles, faut bien qu'un jour ils payent....
Les murs ont des oreilles.Stups ou RG c'est pareil. L'appareil est déguisé, ces connards sont déguisés, l'état à beau être enlisé, les kisdés, tiennent le haut du pavé, Irokoi ou dread locks tu vas payer....dans les rues de ma ville, les lois sont subtiles, les flics déjà moins. Et l'ennemi est dans nos murs, et les murs ont des oreilles, et les temps sont durs, dans ton dos ils te surveillent,
RG FUCK OFF ! HAPPYKOLO
"La question anarchiste devrait être : pourquoi se soucier d'affronter un pouvoir qui a perdu toute signification et qui n'est plus que pure simulation ?"
"Ce qui me fascine, c'est de voir qu'on ose encore présenter le travail comme une solution à la misère, malgré le fait qu'un SDF sur trois travaille, justement. C'est ça aussi, le miracle de la flexibilité. T'es flexible, mais tu peux pas louer d'appartement parce que le bailleur, il est pas tellement fan de ton CDD flexible, de tes périodes de chômage flexibles, de ton compte en banque flexible.
La pénurie de travail, comme si c'était ça le problème, comme si c'était pas l'argent, le problème. "
Des philosophes imbéciles il y en a, comme des imbéciles ont parfois des fulgurances...
Le problème étant, non pas que la majorité soit considérée comme ayant raison, mais bien la teneur de la proposition (typiquement des élections présidentielles n'ayant comme seul but que d'éviter aux populations d'avoir l'envie de se prendre en main).
Le processus de décision quand on agit collectivement a ontologiquement un aspect totalitaire, étant impossible de faire une chose et son contraire dans le même temps (à part cas particuliers bien sûr mais si on décide de construire un barrage ici ET de ne pas le construire, ça peut rapidement devenir compliqué). La question est donc de réduire le champs des décideurs par groupement affinitaire (autrement dit tes 11 imbéciles et tes 10 philosophes tirent au hasard 1 représentant chacun, qui devront débattre et se mettre d'accord; à chaque décision l'imbécile et le philosophe change, ce qui fait une différence majeure et fondamentale avec les pratiques actuelle des démocraties libérales occidentales).
Personnellement la dictature éclairée je n'y crois pas: un philosophe qui déciderait pour un ensemble parce qu'il pense intellectuellement que sa décision est la bonne ne serait pas reconnu pour légitime (à juste titre) et aurait une marge d'erreur très élevée.
Faire le bonheur d'un peuple contre lui-même n'est pas faire son bonheur, c'est participer à son désinvestissement. Exemple concret: si votre pays vote massivement pour la dernière des fachos arrivistes en force et en nombre, cela signifie que nous sommes entourés d'un tas de gros cons racistes et incultes, dans ces conditions il me paraît peu utile de chercher à bidouiller politiquement ou à lutter. C'est un tas de gros cons racistes et incultes, à chacun d'en prendre acte parce que de toutes façons on ne pourrait rien construire avec. A 10 contre 1, même si tu exclues le système de majorité, tu finiras la gueule cassée à ramasser tes dents.
Si je conchies le système actuel c'est aussi pour son élitisme. Or se passer du fonctionnement par vote c'est accepter que ce soient les élites qui dominent. Ce qui me paraît bien plus inacceptable encore. Et ce qui est déjà le cas (les fils de politiques deviennent des politiques, les fils de chanteurs deviennent des chanteurs, les fils de putes, euh... Je m'égares), grâce aux élections CQFD.