Canada: un patient peut faire pousser 292 plants et vendre

[gege-poulot]

la pommade, ça se fume?..

c'est bon,

[lavhouse]

question c*n , mais en patch , la peau absorberais le thc non ?

comme ca j arrete de fumer

[The Happy Sower]

non la pomade se fume pas...par contre on peu la manger

ben apperement un abus de pomade pourrais provoquer des crises de fou rire

la pomade au cana tu y rajoute deux trois autres plantes t'en fait une huile de massage aphrodisiaque (puis comme c'est commestible t'as une excuse pour lécher les tétons de ta cops )

[lavhouse]

bah j ai pas besoin d excuse moi , mes condoléances pour toi ................

[PET MONSTER]

Es-ce qu'on peut demander la double nationalité thérapeutique?



J'exiges sur le champ d'être médicalisé par les services canadiens tout en étant remboursé par la sécu!
A MA GUIZE! A MA GUIZE! A MA GUIZE!

Ah, ça serait tellement plus simple d'être alcoolique (surtout en France, c'est même encouragé! )

[toxtox]

sympa, surtout qu'il ne doit pas utiliser le thc mais d'autres substances de la plante pour sa peau... comme quoi le dronabinol ou autre ne sont pas des alternatives... edit: je parle de la crème pour la peau le beurre ça doit le fracasser

et tu croit vraiment que c'est pour sa peau ? MDRRRRR

[gege-poulot]

euh.. j'ai un bouton sur le gros orteil.. me faut faire des bains de pieds à la beuh..
mais attention hein!. pas de la merdasse! j'veux des bains de pieds à la black widow...

et j'veux que la sécu me rembourse et mes graines.. et mon engrais.. et ma facture d'EDF...

[The Happy Sower]

bien sur que la crème est pour sa peau, et il doit certainement en faire les litres et des litres... il a fallut quand même qu'il fournisse certaines preuvent

par contre faut peut près 10g de weed pour 10cl d'huile selon la recette de base...on rajoute un peu moin de 20% de cire d'abeille....donc pour 10g t'as 110ml de pomade...

yo la pomade je la fait avec la manucure, certain professionels utilisent les racines ...lui ils prends les buds là il nous prends pour des jambon ou il faut qu'il nous expliques

là il toune 6 mois il a du stock pour l'année, il lui faut deux camions citerne

ca en fait des petit pots de crème de 100ml

[The Happy Sower]

Par ROBERT MATAS
Du Globe and Mail de samedi
Sam Mellace voit le jour, sa société est un leader dans la distribution de la marijuana médicale. Mais il doit convaincre Ottawa de laisser ses affaires soient

Sam Mellace a peut-être le plus sophistiqué de la marijuana de plus en plus le fonctionnement de la Colombie-Britannique.

Un fervent défenseur de la marijuana médicale, l'ancien résident de l'Ontario ayant un casier judiciaire exécute une ligne industrielle de production de style cédant près de sept kilos de marijuana tous les quatre à six semaines. Sa coutume bâtiment conçu, avec près de 250 plants à différents stades de croissance a été mis en place comme un prototype pour illustrer ce qui pourrait être fait. C'est l'avenir, M. Mellace dit.

M. Mellace a un plan pour sa compagnie, le New Age Medical Solutions Inc, pour devenir le Canada, le premier fournisseur national de secteur privé de la marijuana médicale.

Les producteurs de l'Ontario, la Colombie-Britannique Manitoba, et ailleurs fournissent actuellement de la marijuana directement aux utilisateurs médicaux, les clubs de compassion de nombreux affiliés à but non lucratif.

Mais M. Mellace, 55 ans, a un rêve plus grand.
Il parle de l'ouverture de sa propre marque de cliniques partout au Canada se spécialisant dans la douleur grâce à des crèmes de marijuana médicamenteux, des bonbons contre la toux et les cookies. Il espère que la société finira par fournir des produits médicaux de la marijuana à des magasins tels que Shoppers Drug Mart à dispenser aux clients des ordonnances. Il dit également que le Nouvel Âge médicale fait la paperasserie pour capitaliser sur un changement de politique aux Etats-Unis sous la présidence Barack Obama qui arrêtera les poursuites fédérales d'utilisateurs de marijuana médicale.

"Ainsi, on éviterait [marijuana] loin de la rue", a déclaré M. Mellace avant de prendre une opération Globe and Mail au coeur de sa culture de la marijuana dans cette vallée de montagne isolée à environ 100 kilomètres du centre-ville de Vancouver. «Vous alliez à votre médecin, obtenir une ordonnance, allez à la pharmacie [ou clinique]."

M. Mellace a été la marche avec un ressort supplémentaire dans sa démarche depuis une décision de la Cour suprême du Canada le mois dernier. Le tribunal a refusé d'entendre un appel d'une décision du tribunal inférieur qui a frappé déclaré inconstitutionnelle une réglementation fédérale permettant au producteur de fournir de la marijuana à une seule personne. Santé Canada n'a pas encore indiqué si elle al'intention d'introduire de nouvelles réglementations, le ministère n'a pas répondu aux demandes répétées pour une entrevue avec un représentant.
Alan Young, professeur agrégé à la Osgoode Hall Law School, qui est intervenue dans la célèbre affaire récente, a déclaré la décision du tribunal signifie que le gouvernement ne peut pas compter uniquement sur le monopole qu'il a créé pour la distribution de la marijuana médicale. "C'est maintenant une question de volonté politique de se conformer à la cour", at-il déclaré dans une interview.

M. Mellace déclaré la décision du tribunal signifie qu'il pourrait aider plus de gens. Il a joué un rôle dans la mise en place de la marijuana de plus en plus des opérations de tailles diverses pour les utilisateurs autorisés à six sites différents.
"Je suis en constante expansion, dit-il, ajoutant qu'il pourrait aider à fournir la marijuana médicale à tous les 3000 personnes actuellement homologués par Santé Canada à posséder de la drogue à des fins médicales.

One Man's Journey

M. Mellace connaît le monde de la drogue des deux côtés de la rue.
Sa vie a échappé à tout contrôle après que des membres de la famille est mort au milieu des années 1970, il a déclaré dans une interview dans sa cuisine. Il était dans son mid-20s, vivant à Toronto. Il a commencé à boire beaucoup et ont été impliquées dans la drogue. «Je viens d'avoir cette attitude ... Je n'aimais pas, dit-il.

Il a abordé la drogue dans la rue et eu plusieurs accrochages avec la police. «J'étais une« porte tournante », dit-il, décrivant ses nombreuses apparitions en cour. Il a dit qu'il a été reconnu coupable de conduite avec facultés affaiblies et de possession de drogues illicites. Il a servi 30 jours sur une condamnation de l'extorsion.

Son dernier combat de peine a été en Ontario au début des années 1990, quand il a été accusé de complot pour trafic de stupéfiants. Il a plaidé coupable et a été condamné à huit ans en 1994.

Mais c'était alors. «Les erreurs que j'ai faites dans mon passé, je sais mieux ne pas les faire à nouveau", a déclaré M. Mellace, qui a maintenant deux grands enfants, a 20-year-old belle-fille et deux petits-enfants.

«Je ne cherche pas à être un homme politique. Pour autant que tout le linge sale que j'ai, je n'ai aucun problème avec ce que j'ai fait dans le passé, mais je ne peux pas vivre hier. Je ne peux qu'être impatient à aujourd'hui et peut-être demain ».
Son incarcération dans un pénitencier fédéral a changé sa vie, M. Mellace dit. "J'ai été entouré par des assassins, des violeurs, des gens violents. Ce fut une révélation pour moi, voir des choses qui est arrivé aux personnes pendant leur incarcération." Il a dit qu'il veut maintenant garder ses distances avec rien d'illégal. «Je ne veux pas retourner au pénitencier, dit-il.

M. Mellace a été libéré sur parole en Colombie-Britannique en 1999. Lors d'une visite de retour en Ontario quelques années plus tard, il a entendu parler des clubs de compassion qui apportaient de la marijuana à des personnes atteintes de certaines maladies. Le gouvernement fédéral avait un programme de licence de producteurs désignées. M. Mellace pensait que son casier judiciaire serait le disqualifier d'obtenir un permis de producteur.

Puis, le 25 Juillet 2002, il était dans un accident impliquant deux voitures dans le Surrey. Il a survécu, mais soutenue cou, dos, hanche et de traumatismes crâniens. Il a commencé à avoir des migraines, des nausées, des vomissements et des problèmes de vision. Les médicaments prescrits par ses médecins a conduit à des complications supplémentaires, y compris un trouble du foie. «À l'époque il n'était pas question que j'étais accro [à la prescription de stupéfiants]. J'ai juste eu besoin de se débarrasser de la douleur, dit-il.
Une recherche sur Internet se tourna à l'idée de beurre de marijuana pour soulager la douleur. "C'est là que le programme de Santé Canada [pour la marijuana médicale] arriva, dit-il. Le programme fédéral lui a permis de cultiver de la marijuana pour son propre usage. La réglementation fédérale a également permises trois producteurs à mettre leurs ressources en vue de lancer une coopération opérationnelle. Bien que son casier judiciaire le disqualifier en tant que cultivateur désigné pour quelqu'un d'autre, il a rencontré les exigences pour un permis pour posséder et de cultiver de la marijuana pour lui et avec d'autres.

M. Mellace acheté une propriété rurale isolée en 2004. Il a commencé la construction d'un bâtiment pour sa culture de la marijuana opération deux mois plus tard, après avoir reçu son permis de possession de marijuana. Un menuisier de formation, il était familier avec tous les aspects des travaux de plomberie et d'électricité. Il a consulté avec les gens de la Colombie-Britannique qui avait plus de 30 ans d'expérience en culture de la marijuana et lui a donné des pointeurs sur la manière de le faire.

L'INTÉRIEUR DE L'OP

M. Mellace décrit la construction de bâtiments non descript sur sa propriété comme une "pointe" centre de recherche et développement. Il insiste tout avec respecte ou dépasse la réglementation de Santé Canada. Travailler avec d'autres, il expérimente avec six souches différentes et de diverses conditions de croissance dans Chambres climatisées. Prince du pot de la Colombie-Britannique, Marc Emery, a dit M. Mellace opération était la plus importante qu'il ait jamais inspectés.
"C'est le plus grand, le plus efficace l'exploitation industrielle de taille que j'ai vu. ... C'est l'exemple parfait d'un temps opportun, site efficace, propre et sûre pour la production de cannabis prime", M. Emery a écrit dans le magazine Cannabis Culture l'été dernier.

Les chiens de garde, une chaîne liée à une clôture, des détecteurs de mouvement et des caméras de surveillance ont pour but d'assurer la sécurité du bâtiment. À l'intérieur, les plantes, tous les clones, sont cultivées dans de l'eau rempli de roches de lave. Nutriments et d'eau douce sont nourris aux plantes par le biais de minuscules tuyaux qui sont automatiquement adaptées aux besoins. Plusieurs de 1000 ampoules à faible puissance imiter la lumière du soleil pendant 12 heures par jour.

Les plantes sont déplacés le long d'une ligne dans la dite chambre de leur croissance végétative plus touffu et plus haut. Après quatre mois, ils sont transférés dans une chambre à fleurs fraîches. Après encore deux ou trois mois, les feuilles sont coupées et compostés. Les fleurs sont séchées dans une remorque sur la route.

M. Mellace dit qu'il expérimente avec six différentes souches.
«Nous essayons de trouver exactement ce que [chaque plante] peut faire. Certains sont plus neurologique et de migraines. D'autres donnent un« organe de haut », dit-il.
Les fleurs sont broyées en poudre et transformé en beurre qui peuvent être utilisés en pâtisserie ou la cuisine, pour la sauce, la sauce à spaghetti ou frire les œufs, la crème à main ou bonbons contre la toux. «Vous figure ce rapport de tolérance à la douleur dont vous avez besoin, vous mesurer à vos propres niveaux, at-il dit.

"Au lieu de prendre du Tylenol 3 ou du Percocet pour votre douleur, vous pouvez avoir un cookie et un café ou un thé, et vous vous sentirez sans douleur."
M. Mellace anticipe le gouvernement fédéral finira par émettre de nouveaux règlements en réponse aux décisions judiciaires les plus récentes. "Notre combat est de devenir le secteur privé", dit-il. "Nous voulons être réglementé, nous voulons un contrôle de qualité pour s'assurer que les gens se le bon produit."

rmatas@globeandmail.com [rmatas@globeandmail.com]




traduit avec google
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[skonk]

c'est nawak les traductions google faut arréter
edit: et oui pourquoi pas pour sa peau moi j'ai testé le beurre de marrakech c'est super pour les brûlures (véridique)

[powpow's]

en tous cas je sais ou j'vais faire la transumance,au canADA

[skonk]

en tous cas je sais ou j'vais faire la transumance,au canADA

le bateau avec le troupeau ça doit être funky

[powpow's]

p'tin c'est vrais ça!c'est pas un bateau qu'il faut,mais un paquebot

[richard_sativa]

l'etat dla BC sont asser ouvert la dessus...

vancouver seul ville du cannada ou ya un coffe shop et une vapeur loundge ( ou tu peus fumer mais pas acheter et c legal c dans une des grande rue du centre ville ) ainsi que tout leur shop de vente de graine , tu peus toujours tareter et fumer un buzz , en meme temps vla lodeur kan tu rentre ...
alors que ca reste quand meme illegale dans leur pays...



ps : en plus il fait super bon vivre...

[The Happy Sower]

http://www.cic.gc.ca/francais/index.asp